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Chapitre 41

Chapitre 41


- Leia-


Jeudi 28 mai


Mardi soir, les garçons des Tarterêts avaient gagné le match de foot contre Grigny. Aujourd'hui, l'ambiance était folle comme si on avait encore gagné la coupe du monde. Dans la cité, tout le monde était surexcité. Surtout parce que ce soir, on va fêter ça avec un bon barbecue au zoo !

Depuis ce matin très tôt, les mamas s'organisaient en cuisine. Avait-on assez de viandes halal ? Et les légumes pour les végétariens ? Y avait-il assez de boissons ? Autant pour les enfants avec des jus de fruits et des sodas, que les adultes avec des bières et autres boissons alcoolisées ou non. Avait-on assez de chaises et de tables pour l'extérieur ? Les garçons s'en occupaient. On les voyait descendre le tout dans les escaliers des bat's. Les ascenseurs comme à leur habitude étaient en panne. René, qui était revenu sur Paname avec son fils Yanis, organisait le tout avec les autres grands darons du zoo. Sarah était restée en Corse avec sa fille Talya et son fils Marouane. Je n'avais pas eu l'occasion de les rencontrer lors de mon séjour avec Nabil. Ils étaient chez leur grand-mère à ce moment-là.

Nous étions arrivés en Corse comme ça, sur un coup de tête, tels des voleurs. Pensais-je en rigolant.

J'étais arrivée un peu plus tôt pour aider. Je mettais les chips et autres gâteaux salés dans les bols sur la table. Casper déposa des petits récipients remplis de bâtonnets de carottes et de concombre. Quand tout à coup, j'entendis derrière moi un couple s'engueuler.


« - Sabri, je t'avais dit de prendre aussi les paquets de gâteaux sur la table du salon. Pour la peine, tu iras les rechercher toi-même.

L'homme baragouina quelque chose.

- Je n'ai pas bien entendu ? Demanda la femme.

- Affirmatif.

- Je préfère ça.

Je me retournais et vis cette jeune femme aux cheveux flamboyants. On aurait dit du feu. Telle une déesse, elle était apparue : Tonia, ma sœur de cœur.

- Oh, Leia !

- Salut Tonia ! Ça va ? Demandais-je.

- Bien et toi ?

- Super ! Sabri te fait encore des misères ? Dis-je avec un sourire espiègle.

- Tu sais les hommes qu'est-ce qu'ils peuvent être tête en l'air. Soupira-t-elle.

Cela nous fit rire.

- Je t'ai ramené des petits fours, des bretzels et des fondant au chocolat maison.

- Tu t'es encore surpassée ! M'exclamais-je.

- Ce qui m'étonne le plus c'est que je trouve encore le temps avec mon nouveau grade.

- Oui, encore félicitations, même si ça fait déjà plusieurs mois !

- Merci ma princesse.

- De rien ma reine. Sois fière !

- Je le suis !

- Et bien parfait. Dis-je, heureuse d'avoir retrouvé l'une de mes amies chères à mon cœur.

Je déposais au milieu de toutes les victuailles mon fidèle gâteau au yaourt à la fleur d'oranger et aux pépites de chocolat, ainsi que du mojito. Tonia me regarda avec une lueur dans le regard quand je sortis une autre carafe.

- Celui-là est virgin.1

- Oooh merci, tu t'es rappelé. Dit-elle émue.

- Oui. » Dis-je souriante.


Au bout du moment Sabri apparu essoufflé avec les fameux paquets de gâteaux salés. Il était habillé d'une grosse doudoune streetwear pour le protéger du frais du mois de mai, enfin, je pensais que c'était plutôt pour se donner un style. Cela me fit sourire. Néanmoins, je constatais au loin que le soleil tentait de percer à travers les nuages. Il ferait bientôt bon. Le premier barbecue de la saison, comme on dit...

Yanis plus loin avait mis de la musique sur les enceintes. Une compilation de musique japonaise d'été des années 80. Je le remerciais de la tête. Qu'est-ce que j'aimais ce genre d'ambiance. Cela te donnait envie de boire un cocktail en terrasse, puis d'ensuite plonger dans l'eau salée de l'océan.

Au loin, je vis mon homme en train de porter une table avec l'aide de Kemil. Qu'est-ce qu'il était beau. Il portait son pull Diesel x PNL avec les inscriptions japonaises, ainsi que le jogging qui va avec. Son charisme et sa prestance envahirent les lieux. Il n'y avait plus que lui encore une fois. Surtout lorsque nos regards se croisèrent. On restait encore un peu discrets pour pas qu'on nous fasse chier. Pour l'instant, cela me convenait bien. Aujourd'hui, j'étais une sœur pour tous les gars. Et cela remplissait mon cœur d'une joie intense.

Très vite, quand tout fut installé, l'humeur passa à la fête. Les enfants couraient et hurlaient dans tous les sens. D'autres un peu plus grands se faisaient un foot. Sur le terrain, on pouvait y voir des personnes de tout âge. Qu'est-ce que ce sport pouvait rapprocher, unir. Amine, Moha, Karim et Samy étaient vers les barres de tractions de la petite aire de jeu pas loin. Ils avaient changé de musique pour du Koba. Lucas, Yanis, Tony et Sabri faisaient des conneries, parfois rejoint par Nabil quand il n'était pas en train de se goinfrer avec Lucas au « buffet ». Tarik discutait avec les grands et les anciens du quartier, parlant des affaires, même s'il y touchait plus. Il veillait toujours sur les siens. Il était comme ça, un lion veillant sur son royaume, jusqu'aux frontières, à la limite du cimetière des éléphants.

À un moment, à force d'aller de groupes en groupes discuter, je le croisais une nouvelle fois, nos bras ainsi que nos mains se frôlèrent. Plongeant dans ses yeux marron-verts, comme les miens, je compris que comme moi, il avait été parcouru de frissons dans tout le corps.


Connectés, nous étions.


Mais je fus interrompu dans ce moment intime par des bruits non loin de Tonia. Je m'approchais, et vis quelques greluches venus au barbecue pour apercevoir, si ce n'est plus, les deux frères. J'avais un haut-le-cœur. Cela me dégoutait. N'avaient-elles donc aucun respect pour leur vie privée ? Puis, je regardais Lucas qui avait posté la story disant qu'il avait une fête ce soir aux Tarterêts. Mon regard se fit noir sans le vouloir. Je vis qu'il baissa la tête. Lucas s'en voulait, pas comme Nader qui lui postait des photos et vidéos compromettantes ou privées des gars régulièrement sur les réseaux. À croire que ça l'amusait. Je ne l'avais jamais vraiment aimé.

Je m'approchais finalement de Casper, toujours penaud dans son coin.


« - Wallah, je te jure Leia que je ne voulais pas. J'étais tellement content de la victoire du zoo, que j'ai pas pensé aux conséquences. S'excusa-t-il.

- Je sais... Soupirais-je. Désolée de t'avoir mal regardé.

- C'est walou, tu voulais juste protéger ton gars, t'inquiètes.

- Merci de si bien me comprendre Lulu.

- De rien princesse Leia.

- T'es sérieux ?! M'offusquais-je.

- Quoi princesse Leia ? » Me regarda-t-il avec un air de défi.


Je me mis à le courser comme une folle. Tout le monde après l'incident des groupies, qui avaient vite déguerpi face à la colère des QLF, se mire à nous regarder tourner sans fin. Ce qui les fit rire. L'ambiance tendue dû à ses étrangères s'était évaporée comme leurs présences. Enfin, la fête pouvait reprendre.

Après ma poursuite avec Casper, je me dirigeais automatiquement vers le buffet, gourmande que j'étais. Pendant que je m'empiffrais de petits fours, de bâtons de concombre et autres amuses bouches végétariennes quelqu'un tapota sur mon bras. Je me retournais la bouche pleine. C'était David.


« - Chalut. Qu'ech qui y a ? Dis-je, toujours la bouche remplie de victuailles.

- Salut Leia. Dit-il, en rigolant.

- Désolée. Dis-je, amusée par mon manque de convenance.

Nique les convenances.

- J'ai entendu dire que tu dessinais. Moi aussi. J'aimerais beaucoup voir tes dessins, si tu veux bien.

- Oui. Avec plaisir ! Dis-je en cherchant mon sac des yeux.

- Attends. J'ai mon carnet dans mon sac. Et j'ai aussi un compte insta pro dessin : leia_drawing. Expliquais-je.

Pendant que je cherchais le Graal, lui cherchait mon compte sur son tel'.

- Ça y est, je l'ai trouvé ! Nous dîmes en chœur, ce qui nous fit rire.

- C'est bien ça ? Me demanda-t-il, en me montrant son écran.

- Oui !

- Wow. C'est cool. Je trouve ça stylé. Surtout tes personnages ! S'exclama-t-il.

- Je suis contente que tu dises ça ! D'habitude, les gens ne me parlent que de mes peintures réalistes.

- Ouais, c'est la même pour moi. Tiens, c'est mon compte pro : Dave91.

- On dirait un blaze de rappeur. Dis-je en rigolant.

- C'est parce que je rappe.

- Nooon ?

- Si.

- C'est cool ! Tu me feras écouter ?!

- Ouais, stuveux. Tu as déjà quelques morceaux sur ma chaîne YouTube du même nom.

- J'irais voir tout ça. Mais déjà ton insta fait giga pro. Tes photos sont propres. Tes dessins ont beaucoup d'âmes. Ainsi que tes IGTV, ils sont ultra poétiques. J'adore, car on voit que tu as un univers bien marqué.

- C'est ce que j'essaye de montrer. Content que tu l'aies remarqué.

- De rien. Dis-je en souriant.

Je scrollais toujours. Je m'arrêtais sur une photo en particulier.C'étaient deux hommes à contre-jour avec les Tarterêts en fond. J'arrivais enplissant mes yeux à distinguer David et Larry. Ils s'embrassaient avec lesoleil couchant. La photo était belle. Mais le sujet était encore plus beau. L'amour.C'était engagé de sa part, surtout devant une cité comme celle-ci : connue.



- C'est magnifique. C'est toi et Larry ?

- Oui. Je voulais lui prouver mon amour.

Je fronçais les sourcils ne comprenant pas.

- Pendant longtemps, je n'ai pas assumé ma sexualité, ainsi que mon amour pour lui. C'est grâce à lui, si j'en suis là aujourd'hui. Il m'a vraiment aidé à m'accepter. Expliqua-t-il.

Il se tourna vers Larry au loin qui rigolait avec Amin et Younous. Il le regarda avec un amour si sincère, fort et précieux. Machinalement, je cherchais Tarik du regard. Il était à l'autre bout de la cité. Il se retourna sentant mon regard. Je me retournais les joues en feu, telle une gamine de quinze ans.

- C'est beau l'amour que vous vous portez. Dis-je toujours aussi rouge.

- Celui qu'AD et toi, vous vous portez aussi. Tu ne t'en rends peut-être pas compte, car t'es dedans, mais nous à l'extérieur, on le voit ienb. Tu ne l'as pas gé-chan, car Tarik est resté le même. De toute façon, on ne peut pas gé-chan quelqu'un comme ça. Mais c'est l'une des seules fois où Rikta s'ouvre à quelqu'un, qu'il fait confiance comme ça à une go. Et s'il te fait confiance, c'est qu'il y a ienb une raison.

- Je ne sais pas quoi dire. Bredouillais-je.

- Dis R. Leia, on le voit ienb. Y a pas besoin d'être intelligent pour le comprendre. Regarde même Nader l'a compris. Certes, il est toujours contre toi. Mais je pense que c'est parce qu'il est jaloux. Il pue le seum.

Ça a eu le don de me faire esquisser un sourire.

- Chais pas si ça va durer vous deux. Mais ce qu'est sûr, c'est que tu le rends meilleur. Ça se voit. Il est moins dur avec nous. Il est plus apaisé. Après, je ne garantis pas qu'il ne va pas tout gâcher. Il pense qu'il ne mérite pas ton amour. Ça, c'est parce qu'au fond, il ne s'aime pas. Il se dit que si sa daronne l'a abandonné, c'est qu'il est nul et que sonne-per l'aimera. Mais c'est de la D ça.

J'avais les larmes aux yeux avec ce qu'il me révélait, même si je m'en doutais depuis un moment.

- Bref. Je ne sais pas si t'es la femme de sa iev, mais c'est tout comme.

D'un coup, j'avais eu le besoin de le voir, maintenant. C'était vital.

- Merci pour ce que tu m'as dit. Je regarderais ta chaîne et je te dirais ce que j'en aurais pensé. Mais là, je dois y aller.

- Tu vas aller le retrouver, c'est ça ?

- Oui. »


David me sourit avant que je ne me dirige vers le bas des bâtiments.

À travers la foule, je réussis à trouver mon lion. Il était en train de déconner avec Mess et Kemil.


« - Yo la lionne de la liberté ! Ça faisait longtemps dis-donc. Dit Mess, enjoué de me voir tout en blaguant.

Je soupirais amusé par le surnom que je m'étais moi-même attribué.

- Genre... Même pas vingt-quatre heures... C'est vrai que ça faisait un bail. » Dis-je, en plaisantant moi aussi.


J'avais commencé mon stage depuis bientôt un mois. C'était ultra enrichissant, surtout ne connaissant pas le milieu de la réalisation en prise de vue réelle, que ce soit pour des clips comme des films. J'étais contente de bosser avec Mess. C'était quelqu'un de très travailleur. Il ne lâchait rien. Grâce à lui et l'ambiance des locaux, cela me tirait vers le haut. J'avais senti mon niveau grandement s'améliorer. Le seul bémol était que le temps passé au stage m'empêchait de travailler sur le film. Mais si j'étais honnête avec moi-même, j'étais soulagée.

Camélia, une fille de mon école en 3D, m'avait donné des tips pendant le stage. Elle avait trouvé un stage auprès du studio qui a réalisé Astérix, Le Secret de la potion magique : Mikros Image à Paris aussi. Parfois, j'allais boire un thé en ville avec elle, maintenant que les restaurants et bars étaient rouverts. Comme quoi, même après quatre années dans cette école, je pouvais toujours me faire des amis. Grâce à elle, je commençais à mieux maîtriser les logiciels que j'avais vaguement vus l'année dernière à mon stage à TF1. Je bossais sur le clip de F430 : Guap Summer. Je faisais essentiellement de la modélisation et du rendu 3D. Heureusement, ce n'était pas ultra compliqué, mais j'en chiais quand même, n'étant pas aussi à l'aise qu'en 2D. Je me tournais vers Kemil.


« - Salam Leia.

- Aleykoum salam Kemil.

Tarik depuis tout ce temps m'observait. Il regardait tous mes faits et gestes. Je sentais le rouge me monter aux joues. Je triturais mes mains, mal à l'aise de cette attention. Je regardais mes pieds. Quand Naha a.k.a. Kemil me posa une question, cela me fit relever les yeux.

- Ça se passe bien ton stage avec Mess ? Demanda-t-il, tout en faisant un signe de tête vers le concerné.

- Oui ! Je m'amuse beaucoup ! Mais surtout, j'apprends plein de choses ! Et Mess est vraiment quelqu'un d'inspirant !

- Arrête mes chevilles sont en train de gonfler là. Dit Mess en rigolant.

Je souris à mon tour.

- C'est bien que ça se passe comme ça. Rajouta Naha.

Tarik me regardait toujours avec insistance. Je pris mon courage à deux mains et dit :

- Je peux vous l'emprunter cinq minutes ?!

Je ne savais pas ce qui m'avait pris. Mais j'avais presque hurlé ça, comme pour faire face à ma timidité. Ce qui eut le don de d'abord de choquer Kemil et Mess, puis de les faire entrer dans un fou-rire, très vite suivi de Tarik et de moi-même. Nous avions les larmes aux yeux à la fin.

- T'inquiètes, on te le laisse autant de temps que tu voudras. Tchao.2 Dit Mess.

- Tchuss. » Dit Kemil.


Ce qu'ils pouvaient être nouilles. Ils m'exaspéraient certaines fois, mais qu'est ce qu'ils étaient attachants ces QLF.


- Tarik-


Je regardais ma lionne qui elle-même regardait la cité d'un œil bienveillant. Je voyais ses yeux s'arrêter sur chacun de mes frères, sur ma famille. Dans son regard, il y avait tellement d'amour, de loyauté et de sincérité. J'en avais des frissons. Comment il y a quelques mois ,avais-je pu douter d'elle ? Ma méfiance m'énervait parfois. Mais je n'oubliais pas toutes les fois où elle nous a sauvé ma mif et moi. Je jetais un coup d'œil à droite à gauche, sonne-per nous matait. Je pris ma femme par le bras pour l'enfermer dans les miens. Elle eut un petit cri de surprise, mais très vite Leia se détendit dans le cocon que je venais de nous créer. Elle se laissa aller contre moi. Au bout d'un moment, nos visages se rapprochèrent naturellement l'un de l'autre. Je lui offrais un doux baiser rempli de tout l'amour que je lui portais. Parfois, j'avais l'impression d'être un gros zemel. Cette go me rendait faible. S'il lui arrivait quoi que ce soit, je serais dévasté. Elle est devenue mon point faible. Et en même temps elle me rendait fort. À ses côtés, je fais face à mes djinns, face à mon passé.3 J'avais moins peur de les affronter.


« - Bientôt la khotba ?4 Dit d'un coup Nabil qui venait d'arriver.

- Quand même pas non plus. T'es un fou toi, c'est bien trop tôt ! Ça fait à peine quatre mois qu'on sort ensemble. Dit-elle.

- Je sais bien. Je vous taquine. » Dit-il tout en ébouriffant ses cheveux.


Il s'approcha pour me faire la même, mais se ravisa quand il croisa mon regard noir. D'un coup, le rire de Bella envahit l'endroit, se répercutant et résonnant jusque dans les murs des cités voisines. Il y avait une ressemblance troublante entre son rire et un grelot troublant le silence face au vent, ou bien le gazouillement d'un oiseau, ou encore le bruit des vagues qui se retirent de la plage. Son rire pour m'en sortir. Elle était là toute souriante, elle éclairait le paysage de sa beauté. Tout le monde se tourna vers nous, et ils nous virent. Ils virent celle qui allait partager ma vie, et c'était quasiment sûr. Il nous fallait juste encore un peu de temps. Du temps pour continuer de se découvrir, de s'aimer, de se faire confiance. J'avais peur. Je n'avais jamais ressenti ça avant. Je ne comprenais pas. Elle faisait ce que-tru sur moi, je comprenais R à ce qui m'arrivait.

Était-ce ça l'amour, le vrai, celui dont on parle dans les films ? Était-ce ma Chichi ?





1 virgin : vierge en anglais, dans ce contexte désigne une boisson sans alcool.

2 tchao : ou ciao, au revoir en italien

3 djinn : génie, bon ou mauvais, dans le Coran et les légendes musulmanes

4 khotba : les demandes en fiançailles en arabe



Voilà le chapitre 41, j'espère qu'il vous aura plu 🧡

L'organisation du BBQ ?

L'ambiance générale de la fête ?

Tonia ?

Leia amoureuse de Tarik?

Les groupies qui se ramènent ?

La conversation avec Lucas ?

La photo de Larry et David ?

Sa conversation avec David ?

Tarik ?

La conversation avec Kemil et Mess ?

Le stage ?

Tarik amoureux ?

On se retrouve vendredi soir !

saphirabluesharkwttpd sur insta

Prenez soin de vous 💖

Saphira 🖤

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