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Chapitre 33




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Bonjour tout le monde ❤️ Je voulais déjà vous remercier pour votre soutien depuis le 04 avril lorsque j'ai posté le prologue et le premier chapitre du premier tome de mon histoire : « Ces mots dans ma tête - Ademo ou Tarik ». Je voulais aussi vous remercier pour vos 19 300 lectures et vos 1 500 votes. Je ne me rends toujours pas compte de ces chiffres pourtant si énormes. C'est comme si je vivais un rêve éveillé depuis plusieurs mois. Je n'aurais jamais cru atteindre cela. À la base, je ne le faisais que pour vous partager mon univers, mes idées, mes histoires. Je m'étais dit que si ça ne marcherait pas, cela n'aurait pas été très grave, même loin de là. Avec seulement 5 lecteurs j'aurais été heureuse. Mais voilà, vous êtes bien plus que 5. Maintenant parlons du chapitre. Pour la deuxième fois dans cette fiction, on arrive enfin à ce que vous attendiez tous (je pense) depuis longtemps : un autre lemon. Pour ceux qui ne savent ce qu'est un lemon, c'est une scène de sexe explicite. Je sais que mon histoire n'est pas dans la catégorie adulte. C'est voulu. Car je pense que pas mal de jeunes ayant 15 ans ou plus sont tout à fait matures pour comprendre, lire cela sans être choqués. Pour ceux que cela dégoûte, gêne, choque, je vous invite à ne pas lire ce chapitre, qui est au trois quart un lemon. Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisiez. Alors merci de ne pas lire ou signaler l'histoire si vous êtes sensibles à ce genre de chose. Je voulais aussi remercier ma correctrice pour ce chapitre : @MarianneLiguiere, l'auteure de « Du coin des lèvres » ; ainsi que celle qui a relu mon lemon et y a ajouté son grain de sel pour qu'il soit parfait : @clemmrt, une des deux auteures de « Nos Démons » . Si vous avez 15 ans ou plus et que vous n'êtes pas choqués par ce contenu, je vous souhaite alors une bonne lecture.


Chapitre 33


-Leia-


Depuis que j'avais donné une clef à Tarik, il y avait quelques semaines de ça, il venait en permanence, que ce soit à l'improviste avant d'aller au studio ou après avoir fini. Ce soir ne faisait pas exception.

J'étais en train de peaufiner ma peinture, c'était une petite pause que je m'accordais entre mes sessions de travail sur le film. Donc, je peignais, avec Travailler de PLK en fond. Même si j'étais bien concentré, je sentis sa présence. Pourtant, Tarik avait été discret. Dans ma vision périphérique je le vis me regarder esquisser un moment, puis il posa son regard sur le tableau que j'étais en train de faire.


« - T'es sérieuse ?

- Quoi ? Demandais-je perdue.

- Tu peins le fennec, mais pas moi ? S'indigna-t-il.

- Vous êtes jaloux Monsieur Andrieu ? » Lui demandais-je en le provoquant.


Je savais parfaitement que quand je l'appelais comme cela, il devenait fou.


Vous pouvez retrouver ce magnifique tableau que j'ai réellement offert à mon frère sur mon Instagram pro lebazardecamille


-Tarik-


Ouais, j'étais grave jaloux. Je voulais être le seul. Je voulais qu'elle n'aime que moi. Je voulais aussi avoir mon tableau. Car ma lionne peignait extrêmement bien, et le premier qui disait que c'était moche, je lui cassais les deux jambes. Je ne cherchais même pas à comprendre.

J'allais vriller. Quand elle me vouvoyait, j'avais envie de lui faire l'amour pendant des heures. Dans. Toutes. Les. Pièces. De. Son. Appartement.

Toutes.


« - Wallah Leia, arrête ça. Sinon je vais te prendre à même le sol.

- C'est peut-être ce que je veux. Dit-elle sur un ton de défi.

- Arrête.

Je soufflais peinant à me retenir de lui sauter dessus. Enfin... si elle était d'accord.

- T'es jaloux ?

- Oui. Terriblement jaloux. Je veux mon tableau aussi. Avouais-je sur un ton boudeur ?

- C'est pour mon frangin. C'est son rappeur préféré. Expliqua-t-elle.

Je redeviens taiseux.

Hum. Pour son frangin...

- Vous voulez des preuves Monsieur Andrieu ?

- J'ai envie de vous. La coupais-je.

- Alors on continue dans les vouvoiements ? Moi aussi, j'ai envie de vous, Tarik Andrieu. Dit-elle sur un ton tellement sexy.

Cette meuf me rendait dur en un rien de temps. Leia. J'adorais dire son prénom, le visualiser dans ma tête, si unique, comme elle. Se disant Léa, s'écrivant tout autrement. Toujours dans l'originalité celle-là, pensais-je en riant.

- Qu'est-ce qui t'amuse comme ça ? Me coupa-t-elle à son tour.

- Je pense à comment je vais te mettre tarif.

- Oh, tu crois que tu en es capable ? Me provoqua-t-elle.

- Tu en doutes ? Lui demandais-je en faisant les gros yeux.

- Peut-être.

- Tu vas le regretter.» Dis-je avec un sourire carnassier, car oui, j'allais la manger entièrement.


Son rire envahit la pièce. J'étais ienb. Terriblement ienb. J'avançais tel un félin jusqu'à elle. Elle souriait. Puis je lui sautais dessus. Elle eut un hoquet de surprise. On s'embrassa comme des oufs, jusqu'à en perdre haleine. Je mordais ses lèvres. Elle gémissait, aimant ça. Très vite, mes baisers et mes mordillements descendirent dans son cou, lui provoquant une vague de frissons tout le long de son échine. Je savais que c'était son point faible. Elle soupira de plaisir. Puis, sans que je ne comprenne ienb ce qui arrivait, je reçus un liquide en plein sur mon tout nouveau t-shirt.

De la peinture.


« - T'es sérieuse ? Lui demandais-je outré.

- Très. Me dit-elle en rigolant.

Elle portait sa salopette en jean déjà tachée de peinture, ainsi qu'un t-shirt blanc.

- Ok. »


Je pris le premier pot de coloris à portée de main et le lui renversa sur la tête. La couleur bleue dégoulinait sur tout son visage, se répandant petit à petit le long de son corps pour finir sur les bâches au sol. Prise de rage, elle appuya fortement sur deux tubes à son tour me recouvrant de vert et de violet.


Ok, ok, elle allait voir.


Je pris ensuite un reste de noir en mettant plein sur mes mains, j'approchais dangereusement d'elle. Je la plaquais contre moi, mes grosses paluches sur ses seufs, lui laissant de belles traces sur sa jolie salopette.1

Elle rigolait toujours. J'avais l'impression de revivre, de m'en sortir. Je respirais à nouveau à ses tés-cô. Je regardais son visage encore une fois, son sourire illuminant toute la pièce. Je ne pouvais m'empêcher de sourire comme un hmar à mon tour. Est-ce que c'était ça le bonheur ?

Leia m'embrassa alors de tout son saoul, se donnant totalement à moi. Elle en profita pour m'appliquer de ses doigts de la peinture rouge sur tout le té-cô gauche de mon visage. Quelle vicieuse, tel le félin qu'elle était. Une vraie lionne. Je l'aimais comme un ouf.

Je la poussais alors sur le sol pour lui monter dessus. Sans avoir oublié de dégrafer le haut de sa salopette avant, je pris, de nouveau, le premier pot d'acrylique à portée de main, pour y plonger ces dernières dedans. J'entrepris de caresser ses eins-s à travers le tissu, laissant encore de belles marques d'un bleu foncé dont elle seule saurait me décrire la couleur. Elle ne disait plus rien, occupée à soupirer de plaisir.

Avant que je ne comprenne quoi que ce soit, elle m'avait retourné sur le sol. Comment avait-elle fait ? Je n'avais rien vu. Elle qui d'hab' n'avait aucune force. Je rigolais, elle m'étonnera toujours. Elle montait à califourchon au-dessus de moi.


« - Au point où on est, tu ne m'en voudras pas, non ? » Dit-elle à moitié hésitante.


Je n'eus pas le temps de répondre qu'elle venait de déchirer à mains nues mon t-shirt. Elle était sah là ? Ça n'allait pas se passer comme ça. J'allais la refaire basculer, mais elle avait commencé avec ses mains recouvertes d'un camaïeu de violets et de bleus une danse le long de mon torse. J'en frissonnais. Je fermais les yeux, me laissant faire. Le froid caressait mes jambes. Sans ouvrir mes paupières, j'ai compris que mon jogging était à terre. Des baisers mouillés se firent au creux de mes cuisses, titillant la frontière de mon caleçon. J'étais dur comme jamais. Le tissu allait craquer si ça continuait. Wesh, je n'avais pas prévu de repartir sans fringues d'ici. Très vite, mon caleçon rejoignit le sol et les bâches recouvertes de peinture. Elle prit ma verge dure entre ses mains. Je n'avais toujours pas rouvert les yeux, ma première vision en le faisant fut de tomber sur ma copine tenant dans ses mains ma bite, le diable dans les yeux, sa bouche se dirigeant dangereusement vers mon gland. Je ne comprenais pas, elle m'avait pourtant dit qu'elle n'aimait pas trop ça.


« - T'es sûre de vouloir ça Leia ?

Elle se redressa, de la salive coulant le long de sa mâchoire. Cette vision était une torture, j'avais envie de la prendre tout de suite. Cette femme me rendait ouf, complètement ouf. Sa personnalité, ses courbes, son âme, tout me faisait perdre la te-tê. Elle me regarda d'un air décidé.

- Je suis sûre. J'en envie de te faire plaisir.

- Je ne veux pas que tu forces Bella.

- Je ne me force pas. Je le fais, car j'en ai envie. Si je ne voulais pas, je ne le ferais pas. Alors tais-toi et profite, car ce n'est pas prêt de rearriver de si tôt. »


Je fermais automatiquement ma bocca quand elle engloba totalement mon pénis dans sa bouche.2 Je sentais sa langue chaude. J'allais clamser.

Ce n'était pas la meilleure pipe de ma iev. Mais c'était elle qui me la faisait, et cela changeait tout. Je décidais de complètement lâcher prise et de me laisser faire. Cette femme était une déesse.


-Leia-


La peinture se mélangeait sur nos peaux, se touchant de nouveau, créant une explosion de couleurs. Je ne me lassais pas de son contact. Je soupirais contre Tarik. Je devenais folle. Ma salopette n'était plus qu'un lointain souvenir coincée dans une des étagères de mon appartement. De même que mon t-shirt qui trônait sur le plan de travail de ma cuisine. J'avais chaud, terriblement chaud. J'aimais tellement rebondir sur Tarik. Sa verge rentrant en moi à un rythme beaucoup trop lent à mon goût. Ma culotte encore sur moi frottant contre mon clitoris me faisait voir toutes sortes d'étoiles que je n'avais jamais encore vues. Je prenais les choses en main, et augmentais le rythme moi-même. Mon lion ne s'y attendant pas lâcha un râle de plaisir. Je souriais, vainqueur. Lui et moi faisions l'amour comme des bêtes. Je ne pouvais m'empêcher d'entendre résonner dans mon crâne Gorilla de Bruno Mars. J'aimais l'euphorie de la chair, la lubricité animale. Et ça tombait bien, car mon homme aimait ça autant que moi.

D'un coup, il changea d'angle, et prit le temps de ressortir et d'entrer profondément en moi. Je hurlais de plaisir. Je n'étais plus que cris et gémissements.


« - Tarik ! Oh, oui ! Je suis à toi bébé !

- Je t'aime ! »


Sur ces mots, Tarik jouit fortement dans le préservatif en moi. En entendant cette phrase, ainsi que toute la luxure que je recevais, les larmes au coin de mes yeux perlèrent. C'était trop fort, trop bon.

Comprenant que je n'avais pas encore joui, mais que j'étais sur le point, mi lionu m'accompagna jusqu'au bout de ses doigts et de sa langue. J'étais partie. Je n'étais plus dans ce corps. C'était... Il n'y avait aucun mot pour décrire l'un de mes plus intenses orgasmes.


*


Nous avions mis une bonne heure ensuite à enlever la peinture sur nos corps. Une semaine après, j'en retrouvais encore à l'intérieur de mon oreille ou au creux de mes genoux. J'en rigolais.

Après l'amour, nous avions fumé tous les deux, blottis dans les bras de l'autre. J'entendais le cœur de Tarik, comme une douce mélodie me berçant. Je m'étais endormie paisiblement, oubliant tous mes problèmes.





1 seufs : fesses en argot

2 bocca : bouche en italien




Bonsoir à tous !

J'espère que vous allez bien 😌

Et j'espère que vous aurez aimé le chapitre 🥰

La jalousie de François ? 😂

Le lemon ? 🥴

L'attention de Leia ? 😏

En attendant on se retrouve vendredi soir prochain 😉

Prenez soin de vous 😘

Saphira 💙

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