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☆ 9. Les Yeux Indiscrets


Ayana


Je m'éveille dans un lit géant et moelleux, enveloppée de draps de satin d'une blancheur immaculée. La chambre baigne dans une lumière douce provenant des lustres en cristal scintillant au plafond. Les murs beige recouverts de motifs divers reflètent la richesse et le raffinement de l'endroit, tandis que les meubles en bois précieux et les touches de dorure ajoutent une touche d'opulence à l'ensemble. À mes côtés, Maya et Jade dorment paisiblement. Les rideaux en soie brodée encadrent les larges fenêtres, tandis que le sol recouvert de tapis persans invite à la détente et au luxe.

Je suis désorientée, cherchant à comprendre où je me trouve. Je suis loin d'être une ivrogne responsable, cependant, je ne suis pas pour autant le type d'alcoolique amnésique. Les scènes de la soirée précédente me reviennent en mémoire de façon désordonnée, et je m'efforce de les reconstituer dans mon esprit.

On s'amusait, puis il y a eu la voix de Brent, et mes amies qui étaient inquiètes... Non. Il y a d'abord eu ce type qui nous a donné un pass et nous avons fait la fête. Tout s'agence de mieux en mieux alors que je garde les yeux fermés, concentrée sur ma tâche. Puis, une illumination douloureuse jaillit de mon cerveau : j'ai échappé de peu à un enlèvement par mon ex, Sulton m'a sauvée et j'ai vomi devant lui avant de m'endormir en pleurant. Totalement sous le choc, je hurle d'embarras en sautant du lit. Mes amies se réveillent en sursaut, pensant qu'il y a un danger imminent, mais je leur assène des coups d'oreiller, hystérique.

— Vous n'aviez pas le droit de m'abandonner ! J'ai dégobillé devant Sulton, bandes de connasses !

Elles éclatent de rire et ne se gêne pas pour m'attaquer à deux. Elles m'immobilisent sur le matelas et me baillonnent d'une main. Jade se penche vers moi et me renifle, ce qui lui vaut un regard étrange de ma part.

— Putain ! Il sent vraiment trop bon.

Je baisse les yeux quand Maya libère ma bouche et réalise que je porte un vêtement qui ne m'appartient pas. De toute évidence, je n'ai pas tous les souvenirs d'hier. Avec force et détails, elles s'attèlent alors à m'imager le déroulement de cette soirée épique.

—... et quand on a fini de pisser, t'étais plus là ! J'ai failli re-pisser dans mes collants, j'te jure, mais un type est venu nous chercher et...

— ... j'entre et bam ! Lucian putain de Sulton te tient entre ses bras et il te regardait avec tellement de trucs en même temps, c'était...

— ... perso, je meurs si j'ai pas une histoire d'amour comme ça, franchement, il est...

J'oscille entre elles alors qu'elles ponctue leur récit de leurs propres fantasmes. Perdue, mais aussi émoustillée, je m'efforce de ne pas laisser le sang remonter à mon visage.

— Et il veut que tu lui rende son blazer au cours d'un dîner, minaude Maya, les mains sur les joues. Si j'étais pas ta pote, les médias auraient déjà su que Lucian Sulton craque sur toi.

Les médias ? Mais oui ! Sulton joue à un jeu dangereux avec moi. J'ai détesté faire la une des magazines lorsque Brent a publié cette photo de nous. À présent, le public n'attend qu'une erreur de ma part pour spéculer à cœur joie. Apeurée à l'idée que le récapitulatif de cette soirée soit déjà diffusée partout dans le monde entier, je saute à nouveau du lit et presse mes amies de ranger leurs affaires. Elles me regardent faire nos sacs, leurs tendre leurs chaussures, tenter de ranger le lit. Je m'arrête et les dévisage, cherchant la raison de leur immobilité.

— Tu vas lui accorder ce dîner, pas vrai ?

— J'en sais rien, Maya. On est dans le collimateur de la presse, alors j'en sais foutrement rien.

— C'est pas comme s'il t'avait sauvée de ton ex, le malade mental, renchérit Jade.

Je souris, incrédule.

— J'y crois pas ! Il vous a demandé de plaider pour lui ? Parce que ça fait trois fois que je refuse de dîner avec lui ?

Cette fois-ci, leurs mâchoires manquent de se décrocher.

— Trois fois ? Ayana Leilani Moore ! s'énerve Maya en me lançant un oreiller que j'esquive. Depuis quand est-ce que tu nous caches des trucs de ce genre ?

— Notre amitié n'est plus ce qu'elle était, dramatise Jade.

— Vous savez quoi ? On en reparle dans la voiture.

Je les laisse me charrier et spéculer sur le fait qu'à ce rythme, je pourrais très bien faire un enfant à Sulton et le leur dissimuler. Elles sont toujours dans l'excès, et je les aime comme ça. Je nie fermement les sentiments qu'elles attribuent à Sulton et les presse de quitter la chambre.

En ouvrant la porte, je crois tomber sur un couloir quelconque pour rejoindre la sortie, mais s'offre alors à moi une vision qui me fait écarquiller les yeux. De larges baies coulissantes derrière des rideaux en tissu fin laissent passer des rayons de soleil qui baignent une pièce à vivre à couper le souffle. Méfiante que mes propres idées m'induisent en erreur, je me rapproche et écarte les rideaux pour découvrir des grattes-ciels que je n'ai jamais aperçus à cette hauteur. Je me tourne vers mes amies qui rient discrètement, croyant rêver.

— Ne me dites pas qu'on est dans un foutu penthouse.

— Non, on est dans une cabane, derrière l'Amérique, assène Jade.

Nous éclatons de rire et je m'attèle à explorer cet endroit qu'elles ont déjà dû retourner dans tous les sens pour en découvrir les secrets. En bonne guide touristique, Maya me désigne le somptueux salon où je découvre des canapés en cuir d'une douceur exquise disposés autour d'une table basse en verre étincelant. Les coussins moelleux invitent à la détente, offrant un confort absolu dans cet espace luxueux. Des tapis persans ornent le sol, apportant une touche de chaleur et de richesse à l'ensemble de la pièce. Les murs sont habillés de tentures en soie d'un gris profond, contrastant magnifiquement avec les accents dorés des cadres des œuvres d'art qui ornent les parois. Des lustres imposants en cristal pendent du plafond, projetant des éclats de lumière chatoyante dans toute la pièce et créant une ambiance de glamour. La cuisine adjacente est un véritable chef-d'œuvre de design et de fonctionnalité. Les armoires en bois massif sont richement ornées de détails ciselés et de ferrures en laiton, offrant un contraste saisissant avec les comptoirs en marbre blanc lisse. Un îlot central spacieux, équipé d'un évier en acier inoxydable et d'une plaque de cuisson à induction, trône au milieu de la pièce, offrant un espace de travail idéal pour les chefs les plus exigeants. Des appareils électroménagers dernier cri, dissimulés derrière des panneaux assortis, ajoutent une touche de modernité à la cuisine, tandis que des étagères en verre exposent fièrement une collection de vaisselle fine et de verres en cristal. Dans un coin de la pièce, un petit bar est aménagé avec élégance, complété par un assortiment de spiritueux haut de gamme et de liqueurs rares.

Je reste bouche bée devant tant d'opulence et de raffinement, avec des idées folles en tête : voler quelques bouteilles de vin, m'emparer de certains couverts et emporter des objets de décoration.

— Ce type est soit fou amoureux soit fou tout court, avoue Jade.

— Et s'il veut juste une nuit avec moi ? me rebellé-je en saisissant mes affaires. Et s'il est tout simplement obsédé par l'idée que je lui offre mon corps avant de me jeter comme la dernière de ses chaussettes ?

— Dans ce cas, il est aussi malade que Brent, avoue Maya en soupirant. Bon, tu sais qu'on t'aime et qu'on aimerait avoir un beau-frère hyper friqué, mais si tu le sens pas, alors ne te forces à rien.

Je lui souris, reconnaissante pour sa compréhension, et nous nous dirigeons vers la sortie. En face de la porte, un homme se tient droit comme un piquet.

— Mlle Moore. Mlle Curry. Mlle Fletcher. Souhaitez-vous commander le petit-déjeuner ?

— Oh... euh... Non, on était sur le point de partir.

Je n'aperçois pas ses yeux à cause de ses lunettes, mais je peux dire qu'il est surpris.

— M. Sulton souhaite vous voir avant que vous ne...

— Non, c'est vraiment urgent, on doit s'en aller ! insisté-je, paniquée à l'idée de revoir Sulton.

— Vous êtes sûres que...

— Elle doit aller baby-sitter des gamins, intervient Jade. Et elle est déjà en retard, alors ils sont seuls dans une maison et il peut leur arriver quoi que ce soit à n'importe quel moment. Vous n'aimeriez pas être responsable de ce qui pourrait leur arriver, hein ?

Étrange mensonge tout à fait difficile à croire, mais le garde du corps semble ne pas vouloir prendre de risques. Nous lui emboîtons le pas pour arriver à un ascenceur qui nous reconduit au rez-de chaussée. Nous quittons le sommet de l'immeuble et descendons la trentaine d'étage en moins de temps que je ne l'aurais cru. Nous traversons ensuite des couloirs déserts qui nous mènent à un parking où semble nous attendre une voiture presqu'aussi luxueuse que les Smart Sulton que j'ai déjà vues.

— Ne vous dérangez pas, on va appeler un taxi, proposé-je.

— M. Sulton me licencierait s'il apprenait que je vous ai laissé faire une telle chose.

Je jette un regard à mes amies qui haussent les épaules.

— Son boulot est en jeu, alors on ne va pas prendre de risques, ricane Maya en sautant dans le véhicule.

* * *

Je pénètre mon antre et referme derrière moi, les muscles endoloris par cette nuit mouvementée. Je rejoins ma cuisine et m'abreuve d'eau fraiche jusqu'à en avoir mal au ventre. Je suis ensuite le chemin qui mène à ma chambre, pioche deux somnifères dans ma trousse de médicaments et redescend dans le salon pour avaler les comprimés avec un verre d'eau, dans l'espoir de m'affaler ensuite dans le canapé.

— Non, poussin ! me fait sursauter une voix masculine. Ton petit épisode de débauche alcoolique, associé aux somnifères que tu t'apprêtes à prendre pourrait potentiellement te plonger dans un coma que ni toi ni moi ne souhaitons, crois-moi.

Je sursaute, mouillant ma robe au passage et le blazzer que je porte toujours. Je grogne en ôtant le vêtement de Sulton. C'est malin, ça ! Agacée, j'essuie l'eau qui s'est aussi répandu sur le plan de travail. Peu atteint par mes états d'âme, il continue :

— Te connaissant, il y a sûrement eu du gin, de la vodka, de la piña colada... non, j'ai oublié le bourbon et le...

— Qu'est-ce que tu fais là ?

— ... qui entraînent un dérèglement de l'équilibre acido-basique, sans compter que l'alcool augmente les effets sédatifs de...

— Luigi ! m'exaspéré-je. QU'EST-CE QUE. TU FAIS. LÀ ?

— Comment ça, « qu'est-ce que tu fais là ? », rit-il. Techniquement, je ne suis même pas là, poussin, un peu comme la particule de la physique quantique qui...

— Ton contrat a expiré il y a un bout de temps, on s'est dit au revoir, tu as supprimé tes logiciels de mes appareils alors POURQUOI tu es revenu ?

Il soupire et arrête enfin de s'amuser avec mes nerfs.

— Pour ta gouverne, m'sieur Moore a passé un nouvel accord avec moi. Hier, en après-midi, à quinze heures six pour être exact, alors que je regardais Léo et les extraterrestres en sirotant un jus de raisin artisanal, 100% pur jus, gazéifié et sans conservateur.

Je soupire et rejoins le salon pour m'asseoir sur le tapis, devant la télévision allumée sur la page d'accueil. Les enceintes auxquelles elle est reliée continuent de cracher la voix de mon garde du corps invisible pendant que je mâchouille une brioche au chocolat.

— Ça nous a tous fait un bien fou de pouvoir relâcher la tension ces derniers temps, mais les Smith sont en train de revenir à la charge. Alors, je suis désolé de te contrarier mais je dois reprendre du service avec toi. m'sieur Moore a été clair et si je ne surveille pas tes arrières comme il l'a dit... Sais-tu seulement à quoi ressemble la fureur d'un homme qui a combattu dans des zones trop arides ou trop glacées ? Je vais t'aider : c'est pas beau du tout à voir et, en simple hacker que je suis, mes capacités sont bien plus cérébrales que physiques. Je ne tiendrai pas une demi-seconde devant lui.

Lorsqu'il achève son exposé sur ses aptitudes physiques quasi-inexistantes, il se racle la gorge, annonçant qu'il reprend son sérieux. Je comprends enfin. Maman ne souhaitait pas faire une surprise à papa lorsqu'elle m'a demandé de veiller sur les enfants. Son mari et elle m'ont éloignée de la maison pour recontacter Luigi et réinstaller son dispositif dans mon appartement.

— Où sont les caméras ?

Luigi les fait clignoter en rouge. Commode, meuble à livres, cuisine, au-dessus des placards... Je grogne. C'est la totale.

— Tu t'es déjà câblé à mes appareils ?

— Ton Intelligence Artificielle de façade est partout, poussin, s'amuse-t-il.

— Fais-moi un résumé de la situation, s'il te plaît. Je déteste quand vous complotez dans mon dos.

Mon téléphone vibre dans mon sac. Je le saisis et parcours les images que m'a envoyé le hacker.

Depuis que j'ai fait sa connaissance, il y a trois ans, j'ignore à quoi ressemble mon garde du corps invisible comme j'aime bien le nommer. Luigi, c'est un peu une version de Siri trop à l'aise. Avec ses logiciels qui s'infiltrent partout comme des tentacules, il interagit avec moi comme une intelligence artificielle : je n'ai qu'à l'interpeller pour qu'il se pointe. Il se raccorde à tout ce qui lui permet de me garder à l'œil et fait son compte-rendu à papa. À sa voix et sa manie de constamment slalomer entre des sujets qui n'ont souvent aucun rapport entre eux, je dirais que c'est un jeune homme de ma tranche d'âge ou un peu plus, avec un QI épatant. Il doit exécuter diverses missions dans l'ombre d'un endroit bien gardé et je refuse d'imaginer combien dépense mon père pour que Luigi mobilise de telles ressources. J'ignore aussi toutes les questions qui peuvent bien se rattacher à la façon dont papa et lui se sont connus.

— Les activités de Brent sur les réseaux ne sont pas du tout rassurantes, poussin. On voulait juste faire un check-up avec m'sieur Moore et ta mère pour se rassurer, mais ce psychopathe nous pousse à nous remettre sur le pied de guerre. Jusqu'ici, son père ne semble pas s'en préoccuper, mais si Callum Smith te reprend pour cible, alors ça va être la même merde qu'il y a trois ans. TU n'as pas envie que ça arrive et JE ne veux pas revivre ça non plus, alors on doit CO-O-PÉ-RER.

Je cesse de grignoter, parcourue de souvenirs désagréables. Mon Dieu... Ça ne s'arrêtera donc jamais ?

— Tu sais... il a voulu... m'entraîner avec lui dans un endroit quelconque alors que j'étais bourrée, avoué-je d'une voix chevrotante. Je... Heureusement, Maya et Jade sont arrivées à temps.

En raccourcissant l'histoire de cette façon, j'empêche l'inévitable de se produire : que Luigi aille raconter à mes parents ce qui s'est vraiment passé et qu'ils me soumettent à un interrogatoire au sujet de ma relation avec Lucian Sulton.

— Bon sang ! Je dois faire un compte-rendu à m'sieur Moore !

C'est aussi ce que je me disais.

Je m'allonge sur le sol, éprouvée, l'avant-bras sur les yeux. Tout ça, c'est ma faute et je ne peux m'en prendre qu'à moi-même. Brent m'avait déjà prouvé qu'il ne méritait pas mon amour, mais je me suis entêtée. J'ai suivi la voix de mon cœur et son père a fini par me mettre devant le fait accompli bien avant que je ne comprenne ce qu'il m'arrive. J'ai enduré les pires atrocités pour avoir aimé ce type et j'ai été brisée en deux pour garder la bouche fermée sur les affaires de familles qui étaient tombées dans mes oreilles. J'ai cédé à toutes les contraintes qu'il m'avait imposée, le cœur en miettes et le feu dans l'âme. J'ai quitté son fils, je me suis retirée du journalisme politique que j'entamais à peine et j'ai perdu ma joie-de-vivre ainsi que mon amour propre.

Quelques minutes après avoir avalé ma boisson, je lâche mon verre qui se brise sur le sol, tétanisée. Une onde traverse mon corps. Comme un écho, elle résonne jusqu'au fond de mes entrailles, broie tout sur son passage, ravage et dévaste mon intérieur. Je dégringole du canapé où j'étais installée. Je me retrouve allongée, pliée en deux comme un arbre qui flanche sous un vent violent. Des morceaux de verres me blessent le bras, mais aucun son ne traverse la barrière de mes lèvres. Les bras autour des genoux, la vision brouillée par les larmes, j'aperçois une silhouette dans ce que je pensais être mon cocon de sécurité. Un intrus se tient là, serein, et je comprends bien vite quel intérêt il a à ne pas me porter secours.

— Ma chère Ayana... commence-t-il, ses mots choisis avec soin. Il est des vérités dans ce monde qui dépassent de loin la simple justice des hommes. Certains individus, par leur position et leur influence, échappent aux règles qui régissent le commun des mortels. Je fais partie de ces êtres, je suis désolé de te l'apprendre, et tu ferais bien de te souvenir de cela.

J'ignore la douleur qui me tenaille et hypothèque mon souffle court pour le contredire :

— Je ne me soumettrai pas... à la tyrannie... de ceux qui se croient au-dessus des lois. Peu... peu importe ta position, tu... n'es pas invincible.

Callum esquisse un sourire narquois, ses yeux brillant d'un éclat malsain.

— Tu es bien naïve, ma chère. La vérité est un miroir déformant, et ceux qui se plongent trop profondément en voient souvent une image bien différente de celle qu'ils espéraient. Tu ne sauras jamais vraiment à qui tu as affaire, Ayana. Tu n'es qu'une pâle silhouette dans mon univers, et je peux t'en éradiquer quand je le souhaite.

Des larmes roulent désormais vers mes oreilles alors que je me sens partir loin de mon corps.

— Mettez fin à cette amourette pathétique que vous tentez d'entretenir avec mon fils et cessez de fouiner dans mes affaires, Ayana. Je vous l'ordonne gentiment, cette fois. J'ai une campagne à organiser alors je n'aurais pas toujours le temps de vous rendre visite.

Mes paupières se ferment lentement alors que je l'aperçois s'éloigner.

— J'espère ne pas vous revoir, ma chère. C'est pour votre propre bien.

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Coucou, mes océans ! Accueillez chaleureusement Luigi. Par contre, Callum Smith, vous pouvez le tabasser.

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Esther.

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