Je me retrouva allongée et habillée sur la couette de mon lit, mon PC à mes pieds. Je m'étais surement endormie en tchatant avec ma mère.
Tiens, ma mère parlons en ! 

Ma mère s'appelle Maana Thomas, ou Maana Ikimastuki de son nom de jeune fille ! Elle à rencontrée mon père quand celui-ci était en voyage professionnel au Japon, et comme elle est un peu beaucoup fleur bleue, elle l'a suivi partout dans son voyage au Japon pour ce raprocher de mon père.

Oui ma mère est une sorte de profiteuse.

Mais, il vaut mieux s'entendre avec notre famille
En effet, au Japon, les Ikimastuki étaient connus pour leur magouille.  Si par malheur on leur apportaient des problèmes, on pouvait se retrouvé avec un balle dans la tête ou pendu de force. Et c'est pour cela que je ne les ai presque jamais vus.

Les Thomas, eux étaient adorables ! Ma grand mère,  Madelaine, était la plus gentille des femmes ! Elle me faisait rire, étant petite, avec son caractère de cochon qui guelait sur mon grand père à la moindre petite étincelle ! Seulement, Il... y' as  deux ans je crois... c'est ce que m'as dit ma mère... Son mari, Léon, est mort d'un cancer... Il paraît que ça l'as profondément attristé et je pense que c'est tout à fait normal lorsqu'on perd un être qui à vécu la moitié de sa vie avec nous.

C'est mon père qui m'as dit tout ça, car honnêtement, mon amnésie m'avais fait tout oublié. Alors j'ai tout appris par coeur pour ne jamais oublier une deuxième fois.
Je n'avais d'autres choix que de croire ce que me disaient ses gens qui étaient mes parents. Je les avais oublié... comme toute ma vie... Et parfois,  le doute s'installait en moi, me faisant me demander si on ne me mentait pas.

Car en cette période d'ignorance...
J'étais la plus vulnérables des proies pour les menteur.

Bref, je me suis levée et je suis partie prendre une bonne douche avant de m'habiller léger pour la journée. Je mit alors une combinaison-short jaune pastel à petite fleure blanche par dessus mon maillot de bain,  des sandalette de cuire marron.
Je prepara ensuite mon sac, j'allais sûrement aller à la plage aujourd'hui,  alors j'enfourna ma serviette deplage,  un chapeau de paille et mes lunettes de soleil avant de sortir prendre le petit déjeuner.

Et à peine avais-je mit un pas dehors que déjà je croisais quelqu'un dans le couloir.
À le voir, c'était un adolescent, assez grand pour son âge. Il avait les traits du visage type asiatique. Ses long cheveux noirs était tous devant son épaules droite... ils étaient en bataille mais je pouvais apercevoir une petite tresse.

Il écoutait de la musique avec un casque avant qu'un homme et une femme chargés de bagages dans les mains.

"Jean ! Aide nous un peu !" Crait l'homme.

L'adolescent soupira et pris alors un bagage avant de de grimacer.

"Si Will me voyais faire ça..." lanca t il alors.

"Allez mettre ça dans la voiture ! Je vais régler" fit la femme.

J'en conclus que cette famille de trois repartait sur ce qu'ils appelaient la France métropolitaine.

Je me dépêcha de sortir du couloir pour arrivé dans le hall. De là, un panneau pour la salle à manger et la terrasse avec vue sur le petit port était placardé sur un mur. Je me dirigea dans la direction indiquée.

J'avais bien envie de manger mon petit déjeuner dehors,  sur la terrasse. 
Je pris la porte fenêtre qui menait sur la terrasse. La vue était agréable, l'odeur de la mer flottait dans l'air et le chant des goélands se faisait entendre.

Sinon, la terrasse était assez grande. Pleins de tables pour deux personnes étaient installées sur le sol en bois et de grands parasols protégeaient les clients déjà installés des coups de soleil.  Il y avait aussi une sorte de mini jardin, où dormait paisiblement une chatte et ses petits.

Je jetais un coup d'oeil au personnes présentes.  Beaucoup de couples avec ou sans enfants.

Mais il y avait cet homme.

Il était assis à une table, seul. Ses coudes étaient posé sur sa table et son dos courbé donnait l'impression qu'il allait cassé. Il semblait très chétif, mais je ne pus le regarder plus en détail qu'une mains se posa sur mon épaule.

"Ah!" Fis je par surprise.

Je me retourna et vis alors Marta, souriant malicieusement.

"Eh bien ? Ne me dites pas que je vous ai fait peur !" Riat elle de bon coeur. "Voyons, asseyez vous Mlle. Thomas ! Ne restez pas planter là à devisager mes clients " Rajouta t elle en le faisant m'assoir.

"Ça... se voyait tant que ça ?" Demandais je sceptique.

"Dame !" Retroqua la gérante  " Aussi gris que le nez au milieu du visage ! Mais, nous ne sommes pas là pour ça ! Alors, dites moi ce qui vous ferez plaisir,  mon mari se fera une joie de vous le préparé !"

Je comandas alors un thé avec un simple croissant. Marta reparti alors après avoir tout noté et je resta seule à ma table, en pensant à tout et à rien en même temps.

Il faisait assez chauds, même avec les parasols. La chatte et ses bébés se levèrent, pour finalement se recoucher à mes pieds en ronronant légèrement. Je les regarda silencieusement avant de soupiré et de fermés doucement les yeux.

Je me perdis dans mes pensées jusqu'à ce qu'un des chaton me passe sur le pied en miaulant. Je rouvris les yeux et vis que tout les chatons  partaient dans la même direction, suivis par leur maman. La petite troupe s'arrêta au pied d'un homme que je n'avais pas vus.

"Bonjour tout le monde..." fit il doucement,  en s'abaissant pour caresser un à un les petites boules de poils. "Comment vous allez aujourd'hui ?"

Il se releva et regarda dans ma direction. Nos yeux se croise, il semble surpris de me voir, mais me souri gentiment. Je suis à surprise à mon tour... j'en rougis presque ! Il faut dire que l'homme n'est pas mal physiquement parlant...

Enfin... Moi et les hommes ça à toujours fait deux...

"Tiens, il y'a du monde à notre place aujourd'hui..." dit il en parlant visiblement aux chats.

Il se rapprocha alors de la où j'étais, tira la chaise enface de moi pour s'y assoir, tandis que les chatons et leur mère le suivait.

"Ce n'est pas grave... on vas s'adapter" chuchota t il en me souriant gaiment.

Je resta quelques minutes un peu bouchée... Cet homme...

J'avais l'étrange impression de l'avoir déjà croisé.