PDV Lexy

Je me sens transporté dans un sorte de brancard en bois, j'entends des personnes parler enfin des personnes j'entends Gally crier qu'il faut attacher je ne sais qui.

- Toi tu l'as boucle ! Attachez le moi ! Vous êtes sourds ?! Attachez le moi à ce poteau !

J'entends des bruits de froissement et je suis transporter rapidement, je suis transporter comme si j'étais un sac qu'on traîne par terre c'est horrible. Je ne parviens pas à ouvrir les yeux ou la bouche pour parler sa aussi c'est horrible.

- Au moins on ne s'ennuie pas avec toi. Crache Gally.

- On ne t'oblige pas à nous suivre mais nous on s'en va. Décrète Thomas. Si vous voulez partir c'est votre dernière chance.

- Ne l'écouter pas il essaye juste de vous faire peur. Tente Gally.

- Non ! Je n'essaie pas de vous faire peur vous avez déjà peur, tout comme moi d'ailleurs mais à choisir je préfère risquer ma vie là-dedans plutôt que finir mes jours ici. Nous sommes pas chez nous ici et le bloc c'est un refuge on nous a piégé nous sommes devenu prisonnier de cette endroit au moins dans le labyrinthe on est maître de notre destin on va pouvoir s'évader, j'en suis certain.

Comme si ses paroles faisaient effet sur moi j'ouvre les yeux, je me redresse, j'ai mal un peu de partout. J'entends mon prénom être prononcer, j'en ai marre qu'on m'appelle toujours comme si j'étais le Saint Graal. Je me lève et me dresse devant eux tous.

- Résonne les Lexy ils t'écouteront. M'intime le maton des bâtisseurs.

- Tu as raison Gally tout sa est de la faute de Thomas.

- Lexy non

- Tais-toi Minho je n'ai pas fini.

Je m'approche de Gally pour lui faire face.

- Il y eu Ben, Alby, le non respect d'une de nos règles, il a tuer un griffeur se qui a probablement dû provoquer la colère de WIKED, puis il y a eu hier soir, je me retourne vers Thomas qui a baisser la tête, tout sa c'est passer à cause de Thomas.

Je m'approche de celui-ci. Gally crie qu'il avait raison, je prends le menton de Thomas et lui force à relever la tête.

- Garde la tête haute Thomas, ne la baisse pas pour un abrutit, je me tourne vers Gally, oui tout est de sa faute, mais sans lui nous resterions coincé ici, sans lui nous serions là à chercher encore la sortit. Tout ce qui est arriver n'est pas arriver par hasard, tu ne peux pas obligé les autres à rester ici avec toi Gally, la décision leurs revient de droit.

- Comment tu peux te ranger de son côté ?! Je te rappelle qu'Alby a dit que c'était de sa faute si nous étions coincé ici !

- Je suis au courant, j'ai retrouvé ma mémoire enfin une bonne partie, dont celle où Thomas nous envoie ici, sa propre sœur à été envoyé ici juste parce qu'il a voulu la voir, crois-tu que sa été si simple ? Bien sûr que non parce que Thomas n'est pas comme eux, je ne connais pas la raison du pourquoi est-ce que lui aussi il a été envoyé ici mais c'est qu'il a fait quelque chose qui les a mit en colère. Alors laisse les partir.

- Comment sa laisse les partir ? Demande paniquer plusieurs d'entre ceux qui vont trouver la liberté.

- C'est fini Gally viens avec nous dans le labyrinthe. Me rattrapais je.

- Bonne chance avec les griffeurs. Nous dit-il sans vraiment le penser.

Je sens une main glisser dans la mienne, je sais à qui elle appartient et je retire la mienne.

- Je n'ai pas oublié Minho du moins je m'en souviens maintenant

Il baisse la tête et je suis le groupe qui a commencer à courir. Je rejoins Newt et Thomas qui court également.

- J'ai bien cru que tu ne viendrais pas. Me dit Newt.

- Vous ne vous débarrasserez pas de moi si facilement faut pas rêver. Plaisantais-je.

- Merci Lex'. Me dit Thomas peut sur de lui.

- Je ne t'en veux pas si tu veux savoir, tu es mon frère et je sais ce qui les a pousser à me laisser rentrer dans le labyrinthe, tu n'avais pas le choix, c'est pas de ta faute

Nous nous sourions, je regarde derrière-moi, Minho nous regarde où me regarde, je vois Teresa avec Churck.

- Je ne la sens pas. Décrétais-je.

- Teresa ?

- Oui

Ils lancent tous les deux un regard derrière eux avant de me regarder et de regarder devant eux.

- Ne sois pas trop dure avec Minho, se qu'il a fait cette nuit là tout le monde aurait pu le faire, la peur a parler, mais la peur pour toi la pousser à faire des choix. Me conseille mon frère.

- Il t'a abandonné et a abandonner Alby, comment tu fais pour ne pas lui en vouloir ?

- Tout simplement parce que c'est humain de faire sa, mais toi tu lui en veux pas pour sa spécialement tu lui en veux pour autre chose mais tu prends sa pour le faire culpabiliser. Me répond t'il sur de se qu'il affirme.

- Je crois savoir pourquoi tu lui en veux, nous dit Newt assez sur de lui, c'est parce que ces derniers jours il t'évitait je me trompe ?

- N'importe quoi je n'avais même pas remarquer.

Je ralentis, je suis sûrement aussi rouge qu'une tomate, les deux rigolent, comment peuvent-ils être aussi sûr de sa ? Je trébuche mais on me rattrape avant que je ne mange le sol en béton.

- Fait attention, regarde où tu mets les pieds

Je relève la tête vers lui, il me regarde avec tristesse, il me lâche et nous nous remettons à courir, je lui attrape le bas de son haut et il ralentit.

- Pourquoi est-ce que tu m'ignores depuis quelque temps ?

Il ne répond rien semblant réfléchir à quoi me dire.

- Je ne t'ignore pas.

- Ne me mens pas qu'est-ce que tu fais alors ? Tu m'évites ?

- Je te signale que c'est toi qui m'évite.

- Ne détourne pas la chose vers moi et répond moi Minho.

- Y a deux semaines j'ai découvert qu'il n'y avait pas sortit, aucune de possible, seul Alby était au courant, il m'a fait promettre de n'en parler à personne sauf que toi.. Toi je n'aurais pas pu te le cacher alors je me suis éloigné de toi et tu n'avais pas l'air contre, tu n'avais même pas l'air de t'en rendre compte.

- Bien sur que je m'en suis rendu compte, à la minute où tu t'es éloigné je l'ai vu.

- Vraiment ?

- Bien sur que oui, tu ne l'as peut-être pas remarqué mais tu es important pour moi Minho plus que ce que tu ne peux t'imaginer.

   Je m'arrête et il en fait de même, je saisi son col et je le fais se pencher vers moi.

- C'est pour sa que je t'interdis de mourir.

   Je pose mes lèvres sur les siennes juste après lui avoir interdit de crever, il se joint à moi pratiquement tout de suite. Ces lèvres sont comme je me l'avais imaginer malheureusement on est obligé de se séparer parce que nous allons perdre les autres même s'il connaît le chemin. C'est un peu cucul la praline mais je m'en carre le saucisson. Ses yeux pétillent d'une lueur que ne leurs connaissaient pas, il pose une main sur ma hanche pour me coller à lui et m'embrasser à son tour, après quelques secondes nous nous séparons.

- Rejoignons les autres

À suivre...