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dix-huit: 𝐥𝐚𝐮𝐫𝐚 𝐦𝐞𝐫𝐜𝐢𝐞𝐫


le jour où jisung et haechan s'était rend compte de leurs classes sociales, ils avaient su que la vie était... 








-une grosse pute, dit jisung. 

ils regardèrent autour d'eux. la maison était encore plus gigantesque que la précédente et tout était absolument éblouissants. 

oui, ils se rappelait précisément du jour où les deux jeunes garçons s'étaient rendus compte de leurs situations sociales. 

pour haechan, ce fut assez tôt. 

il rentrait de l'école primaire, à pieds car ses parents n'avaient pas vraiment le temps de venir le chercher. il avait son sac sur le dos, les clefs de la maison dans ses poches et les chaussures toutes blanches. on lui disait très souvent qu'il était un si beau petit enfant... il était habitué à rentrer seul. papa et maman travaillaient beaucoup pour la famille et haechan ne leur en voulait pas du tout. pour lui, du haut de ses neuf ans, c'était des héros, de magnifiques personnes qui étaient fortes et qui ne se laissaient jamais dépassé par leurs émotions. 

lee donghyuck marcha sur le trottoir pour ensuite arriver devant l'entrée de sa maison, il ouvrit la porte mais surpris, elle était déjà ouverte. 

-maman ? pap-

il s'arrêta, et marchant dans le couloir, se cacha rapidement. ses deux parents étaient assis sur les chaises de la cuisine, son père avait la tête baissé et sa mère tenait du sopalin entre ses mains, ayant sécher ses larmes avec par réflexe. 

le plus dur à ce moment là pour un enfant de neuf ans, c'était de se rendre compte que ses parents n'étaient pas aussi fort qu'ils ne le croyaient. 

ils avaient si... vulnérables. 

-on va faire comment ? dit la mère, on peut rien faire avec ça, la carte est bloqué, on doit rembourser les emprunts faits... 

elle renifla et le papa mit sa main dans celle de sa femme. 

-je ne sais pas non plus, dit l'homme, on pourrait faire plusieurs petits boulots à côté. 

-et les gamins ? la mère fondit en larmes. 

les pleurs étaient plus silencieux qu'il ne l'avait cru. 

lee donghyuck fronça ses sourcils, il n'avait jamais penser à l'argent. 

ses parents ne disait jamais rien devant lui, et on ne lui avait pas appris ça à l'école. pour l'instant. 

il vit le dos de sa mère trembler et son père tenter de sécher ses propres larmes. 

il faisait si beau ce jour-là pourtant. 

donghyuck fit demi-tour, ouvrit la porte et la referma violemment. 

-JE SUIS LA ! cria t-il en souriant. 

il pouvait entendre ses parents tout ranger, ranger les papiers et renifler. 

donghyuck courut vers son père et ce dernier rit, avant de le prendre dans ses bras. 

-tu as passé une bonne journée ? dit sa mère en allant se préparer un thé, elle posa un petit gâteau emballé sur la table pour son fils et ce dernier sourit en hochant la tête. 

la mre le regarda, encore sur le point de pleurer. elle aimait tellement, tellement ses enfants, son mari. ils étaient la source de son bonheur, sans eux, elle n'aurait jamais été celle qu'elle est dorénavant. 

une meilleure personne. 

et donghyuck le vit dans ce regard. 

-hyuck, dit le père, il y a quelque chose qui t'attends dans ta chambre. 

il lui fit un clin d'œil et le petit garçon avait couru dans sa chambre et la refermant. 

il vit une énorme peluche rose et marron sur son lit et la fixa. 

avant de fondre en larme. 

il pleura des heures et des heures dans sa chambre. 




















jisung, lui l'avait compris bien plus tard. 

enfin, il n'y a pas si longtemps que ça. 

il devait sûrement être aux alentours de ses douze ans et jouait tout le temps dehors. tout le monde jouait avec lui, filles comme garçon il n'y avait pas d'exception. jisung rentrait toujours très tard chez lui, sa mère n'était dans le mauvais état qu'elle était aujourd'hui mais criait sans arrêt sur lui. 

-tu me casses la tête encore ! c'est toi qui fait la bouffe ici ? disait-elle lorsque jisung rentrait trop tard, je vais pas gaspiller de la nourriture à chaque fois que tu veux jouer au bébé putain. 

elle passa sa main dans ses cheveux gras et partit dans sa chambre. 

le lendemain, jisung revint au collège. avec les même vêtements. 

-t'as jamais de nouveaux habits ? lui disait ses copains. 

-non. ma mère dit qu'on en a pas besoin. 

-mais tu sens pas très bon, dit une fille en se pinçant le nez. 

cette phrase n'était pas si violente en soi, c'était seulement un fait. mais à ce moment là, c'est comme jisung avait ouvert les yeux autour de lui. 

il baissa son regard sur ses baskets, boueuses et troués avant de voir celles de ses autres copains, neuves et éclatantes. 

il avait des cheveux gras, et des toujours ou presque les mêmes vêtements. il n'avait pas de jouets, ni autres choses que les autres enfants de son âge avait. 

et ça, ça l'avait marqué. 

il était rentré chez lui tôt, avait pris une douche puis s'était disputé violemment avec sa mère. 

-ON EST PAUVRE ! cria t-elle en jetant un verre au sol, la mère tremblait, je suis seule... 

elle s'assit sur le canapé, les yeux grands ouverts. 

-tu comprends pas ? je suis seule, j'ai pas d'argent pour vous, à tout moment on peut vous prendre et... 

la mère avait pleuré. 

jisung l'avait regardé. 

le regard dégoûté. 

elle était pitoyable. et il ne voulait pas la voir comme ça. 

il avait simplement lancé cet horrible regard à sa mère et partit dans sa chambre avant de respirer lourdement. il n'avait jamais demandé à vivre de cette façon, tout était de la faute de sa mère qui ne savait rien géré. 

les adultes étaient si chiants, cruels et égoïstes. 

il lança son poings dans le mur, et pleura ensuite de douleur, son cœur s'ancrant dans la noirceur de cette triste vérité. 



















-vous pouvez aller prendre l'air, déclara jaehyun en passa sa main autour de la taille d'haechan se rapprochant de son oreille, je prends en main le reste des affaires. 

le tuteur souriait, et haechan se courba pour s'excuser. pour la première depuis plusieurs semaines, les deux jeunes espions avaient été parfaits. sans aucune erreur. 

toute la population avait succombé à leurs charmes de diamants encore brut. 

ils étaient jeunes, faisaient quelques erreurs. 

-mais dieu qu'est-ce qu'ils ont du potentiel, rit le président moon aux côtés de jaehyun. 

haechan attrapa le noiraud et les deux jeunes garçons se précipitèrent vers l'entrée de la maison.

-j'veux fumer, dit simplement haechan. 

jisung haussa un sourcil avant de sortir un paquet à donghyuck et sourit. 

-toujours, répondit-il en souriant. 

ils se dirigèrent vers un escaliers en bois et montèrent celui-ci, ils se dirigèrent vers le tout dernier étage pour que personne ne les trouve et ouvrirent une chambre et y trouvèrent un balcon. jisung lança le paquet de cigarette à donghyuck, celui ouvrit la porte-fenestre et soupira lourdement. 

-j'ai cru que j'allais vraiment mourir cette fois-ci. 

-moi aussi, c'est tellement différents de chez nous. 

ils restèrent silencieux un moment. 

-c'est injuste, déclara jisung. 

donghyuck alluma sa cigarette avec son petit briquet caché dans ses poches et répondit après un instant. 

-je me suis jamais autant sentit aussi mal, aussi pauvre de toute ma petite vie. 

-certains ont de la chance, d'autres non. et on doit vivre avec sans même l'avoir choisi. 

ils haussèrent simultanément les épaules et regardèrent le ciel nuageux, éclairé par la pleine lune. 

-le ciel est la seule que tout le monde peut voir sans inégalité, rit donghyuck, non ? 

jisung haussa les épaules. 

-mon quartier me manque. 

-ma famille me manque. 

ils soupirèrent une nouvelle fois, chacun regardant le ciel sans s'en y détourner. 

-quand est-ce qu'on en aura fini avec tout ça ? ce mensonge commence déjà à me démanger, dit jisung en fronçant ses sourcils. 

-c'est que le début, répondit simplement donghyuck en laissant la fumée sortir de sa bouche, on doit choper l'argent de tout ses cons. 

dans le balcon, deux jeunes garçons aux allures princiers observaient avec peine la pleine, pensant avec douleur aux choses qui leurs manquaient. 

et derrière eux, face à porte ouverte du balcon, se trouvait mark lee qui en laissa tomber son paquet de cigarettes. 

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