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Chapitre 8 : Aller Mieux

Nagisa ouvrit les yeux, fronça les sourcils, et referma les yeux. Il ne se souvenait pas s'être endormi. La lumière de la pièce lui donnait mal à la tête, il était encore trop fatigué pour supporter la réalité. Mais il savait qu'il n'arriverait pas à se rendormir, que c'était trop tard. D'ailleurs, il n'avait pas vraiment envie de se rendormir ; il ne voulait plus faire de cauchemar. Il voulait juste se reposer, ne plus penser à rien. Il avait si mal à la tête . . . Il ferma ses yeux plus fort et se retourna sur le matelas, comme pour fuir la lueur du néon qui brillait au dessus de sa tête. Soudain, il eut froid. La chaleur de sa couverture avait disparu. Il laissa s'échapper un soupir de mécontentement qui ressemblait plutôt à un grognement. Il chercha l'objet à tâtons et, lorsqu'il attrapa en attrapa un bout, le tira d'un coup sec vers lui. Le mouvement brusque lui arracha une plainte douloureuse -il avait oublié qu'il était blessé. Le garçon ouvrit les yeux à contrecœur et massa doucement son bras souffrant.

-Salut, dit une voix très familière et amusée

L'androgyne sursauta à ces mots. Désorienté après un réveil aussi brusque, il mit un peu de temps à comprendre où il était et ce qu'il se passait. Il regarda son camarade avec incompréhension : Karma Akabane était debout -quoique légèrement penché au dessus de son lit- près de la fenêtre de la chambre, quelques bandages sur le corps mais avec son habituel sourire moqueur sur le visage surmonté d'une chevelure rouge flamboyante. Son regard en revanche trahissait de l'inquiétude et du soulagement.

-Écoute, dit le matheux, je sais que je suis incroyablement canon mais tu pourrais me mater un peu plus discrètement.

Nagisa rougit en détournant le regard tandis que le plus grand pouffa de rire. Le bleuté réussit à articuler un "imbécile" qui ne calma pas du tout l'hilarité de son ami. Après avoir reprit son souffle  -mais pas son sérieux-  la tomate transgénique ne s'arrêta pas de charrier son aîné (je rappelle que Nagisa a 5 mois de plus que Karma)

- Alors comme ça notre petit schtroumpf est grognon au réveil ? dit-il en secouant légèrement la couverture.

- Euh... je-j'étais fatigué . . . 

- J'avais remarqué, oui ! Ça fait un moment que j'attends que tu ouvres les yeux, t'es une véritable marmotte !

L'androgyne leva la tête pour dévisager Karma avec surprise.

- Attends, tu veux dire que tu me regardes dormir depuis tout à l'heure ? Combien de temps exactement ?

Pour toute réponse, le rouge lui fit un sourire mystérieux. Nagisa grimaça :

- Pas très rassurant...

Carrément glauque.

- Je ne suis pas quelqu'un de rassurant, répliqua le garçon en faisant un clin d'œil

Nagisa ne pouvait qu'acquiescer. Karma n'était effectivement pas le genre de personne qu'on suivrait aveuglément jusqu'à l'autre bout du monde sans inquiétude. Il était impossible de se sentir pleinement à l'aise en compagnie du premier de classe.

Ce dernier s'approcha et se pencha dangereusement sur le jeune blessé. Une quinzaine de centimètres séparaient alors leurs visage, et Karma ne se gêna pas pour dévisager son interlocuteur de haut en bas. Embarrassé, Nagisa retint son souffle et ne prononça pas un mot, jusqu'à ce qu'un sourire malveillant fendit le visage de son camarade de classe.

-Bien, dit-il joyeusement en se reculant, tu m'as l'air de t'être remis. Tu me sembles assez en forme essayer de nouvelles tenues. Parce qu'il faut bien avouer que les hôpitaux ont un très mauvais sens de la mode ! Sérieusement regarde moi ça !

Il désigna la blouse que Nagisa et lui portaient, un vêtement sûrement commun à tous les patients.

- Tu serais bien plus beau dans une robe violette pastel ou dans une jupe en dentelle, qu'en penses-tu ?

Que tu ne perds pas le Nord, espèce de psychopathe, mais le bleuté garda cette remarque pour lui. Il ne jugea pas nécessaire de répondre à la folie non-cachée du rouge, ça sera encore pire s'il entre dans son jeu. Il détourna donc la conversation pour poser une question  qui le titillait depuis un certain temps :

-Au fait... Qu'est ce que tu fais là ?

Durant une seconde, le visage souriant de Karma se figea en un rictus, et une lueur de colère passa dans ses yeux. Mais l'adolescent se reprit rapidement et, avec un peu plus de sérieux que précédemment, il répondit :

-Oh trois fois rien, je fais juste mon stage d'infirmier. Je t'avais dit que je voulais faire médecine ? Tu es mon patient d'aujourd'hui !

J'ai dit sérieux ? Excusez moi, je voulais dire ironie.

Le collégien alité leva les yeux au ciel, puis les planta de nouveau dans ceux de son cadet, attendant une réponse acceptable.
Le sourire de Karma s'élargit encore plus, et il prit une grande inspiration comme s'il allait réciter un poème ou une longue tirade théâtrale.

-Eh bien vois-tu, de base, je voulais simplement passer une après midi sympathique avec mes chers camarades de classe. Mais une beauté comme moi est toujours soumise à diverses épreuves pour tester ma puissance et mettre en valeur ma resplendissance. Voilà donc que je me retrouve dans ce lieu bien terne après m'être fait sauvagement agressé par une personne qui était censée être un "ami" et à qui j'avais préalablement généreusement offert mon aide. Mais je ne lui en veux pas, mon charme est un crime qui rend hommes et femmes fous. Par chance, ces blessures sont superficielles, le garçon m'admirait trop pour oser m'abîmer davantage. C'est dans ce même élan de gentillesse que, lorsque j'ai appris que l'agresseur en question se trouvait dans le même bâtiment que moi, je suis allé lui rendre visite afin de prendre de ses nouvelles et de renouer avec lui. Malgré le sang versé, aucune idée de vengeance ne m'est venue tandis que je déposais ces fleurs à son chevet. Car je suis clément et que ce garçon était animé par des raisons légitimes. Alors me voici, à attendre tendrement que tu te réveilles afin de m'assurer que tout va bien.

Nagisa soupira et Karma, assez fier de lui, marqua un sourire triomphant. Beauté ? Resplendissance ? Gentillesse ? Clément ? C'est pas la modestie si l'étouffe, celui là ! se dit le garçon en reposant son dos contre le matelas.
Karma était toujours le même, alors qu'il avait failli mourir un peu plus tôt. C'était un peu rassurant, mais aussi carrément flippant.

-Tu ne t'arrêtes jamais ?

-Quoi donc, demanda le rouge avec amusement

-D'être aussi orgueilleux.

-Oh non (il étouffa un rire) j'en ai encore pour quelques années en fait. Les gens doivent reconnaître ma suprématie à tout moment. Tous les gens, moi y compris.

- Tu racontes n'importe quoi.

Le rouge souriait toujours lorsqu'il s'affala sur le fauteuil près du lit de Nagisa. Pas assez près apparemment puisque le garçon le rapprocha encore plus. La perche métallique reliée à son bras gêna sa manœuvre mais il finit par y arriver.

Nagisa ne l'avait pas remarqué d'ailleurs, cette perche. Avait-elle toujours été là ? Deux poches remplies de liquide y pendait, et un tuyau reliait le bras droit du garçon à l'une des poches.

- Ma perfusion est si impressionnante que ça ?

Nagisa sursauta encore une fois. Karma ne manqua pas d'en rire. Il ne se lassait jamais de surprendre son souffre douleur préféré.

- Regarde de ton côté Nagi-chan, la tienne est bien plus impressionnante.

En effet, Nagisa avait eu le droit à deux fois plus de traitement que l'autre intello qui se prélassait dans le fauteuil.

- T'as l'air complètement ailleurs mon pauvre. Qu'est ce qu'il se passe dans ta tête ?

Depuis son réveil, l'esprit du bleuet ne cessait de divaguer. Après avoir fait un tel rêve, il ne pouvait que penser à ce combat dans le palais des glaces et à cette voix qui l'avait encouragé à blesser son ami. Une question lui brûlait les lèvres, mais il avait peur de la réponse. Après tout, Karma n'était qu'à moitié sérieux lorsqu'il s'était décrit comme "clément". . . Nagisa hésita. Il observa son camarade attraper une pomme dans la corbeille à fruits sur la table de chevet de la chambre et croquer nonchalamment le fruit. Il ne semblait pas en colère, ni quoi que ce soit d'autre. Il était confortablement installé sur son fauteuil et regardait le ciel par la fenêtre, comme si tout était normal. Alors, l'androgyne osa prendre la parole :

- Dis . . .

Les yeux oranges-dorés du premier de classe se posèrent sur le visage embarrassé du collégien aux cheveux bleus. Il continua d'un voix incertaine :

- Est-ce que tu . . . Je veux dire... Tu ne m'en veux vraiment pas ?

Nagisa ne parvenait pas à regarder son vis-à-vis plus de trois secondes d'affilées. Son regard faisait des allers-retours entre ses mains, le mur et Karma. Ce dernier ne répondit pas immédiatement. Il continua simplement d'observer son camarade en mangeant sa pomme, mettant le garçon encore plus mal à l'aise.

- Hey.

Surpris par cette apostrophe soudaine, l'androgyne se tourna vers Karma, qui lui lança la pomme qu'il avait commencé. Par réflexe, l'autre garçon l'attrapa et se mit à la fixer, se demandant si elle était empoisonnée. Même si Karma l'avait croqué juste avant, ça pourrait être un piège... Une vengeance parce qu'en fait, si, il lui en voulait. Karma était quelqu'un de fier et d'orgueilleux, il a dû terriblement mal prendre le fait de s'être fait battre par un schtroumpf fragile et froussard.

Après hésitation, le bleuté planta ses dents dans le fruit sucré. De toute façon, le rouge n'aurait pas pu monter un piège sans que Nagisa ne le remarque. Il avala le morceau, laissa le jus couler dans sa gorge et se tourna de nouveau vers son camarade.

- Je suis . . . commença le rouge. Je ne suis pas fâché. Je me bats tout le temps, avec tout le monde, je ne vais pas t'en vouloir d'être entré dans mon jeu.

Nagisa hocha la tête en avalant difficilement sa salive. Il savait qu'il y avait autre chose. Il lui rendit le fruit et attendit que son ami continue.

- Si tu veux absolument savoir, je suis frustré. C'est toujours frustrant de perdre, surtout quand on croyait avoir l'avantage...

Le garçon aux cheveux de feu se remit à manger la pomme, tourna la tête vers la fenêtre et laissa ses pensées divaguer. Nagisa comprit qu'il n'ajoutera plus rien. Bon, au moins il ne lui en voulait pas. Le bleuet poussa un soupir de soulagement: il n'avait pas perdu son ami.
Un léger silence s'installa dans la pièce, perturbé par les mâchements du rouge. Ce dernier termina la pomme et jeta les restes à la poubelle.

- Et tu sais ce qu'il s'est passé ? Je veux dire, après, ajouta Nagisa.

- L'ambulance nous a amené à l'hosto, les médecins ont appelé nos parents, Rio a appelé les profs, et le parc a appelé la police. Karasuma-sensei a dit qu'il rembourserai les frais de dégradation avec les intérêts, ta mère a piqué une crise contre moi -soit-disant je suis une très mauvaise influence et je ne dois plus jamais t'approcher parce que tout ce que je sais faire c'est mettre les gens en danger- et Rio et Kayano m'ont harcelé de question pour savoir ce qu'il s'est passé. Oh, et moi j'attendais patiemment que tu réveilles en supportant toutes ces interrogations et toutes ces exclamations. Bref, tout le monde va bien, toi et moi y compris.

Mais moi aussi, j'aimerais comprendre ce qu'il s'est passé, se garda de dire le matheux. A la place, il se leva pour s'asseoir sur le lit du blessé. Nagisa avait baissé la tête et serré les poings (du moins autant qu'il le pouvait avec les bandages et la douleur) pendant l'explication du rouge. Il se sentait encore coupable. Tout le monde s'inquiétait pour lui, mais lui n'avait aucune réponse à leur offrir. Qu'était-il censé dire à ses amis ? A sa mère ? A ses profs ? Il avait déjà eu du mal à trouver des mots pour parler à la psy, et même, s'il y avait pas mal réfléchit, son propre comportement lui échappait encore. Il avait l'impression de ne plus savoir qui il était, et ça le faisait flipper.

Une main sur sa tête le ramena à la réalité.

-  Oï schtroumpf fillette, arrête de t'inquiéter, tout va bien je te dis. Si tu continues de faire cette tête de déprimé, je vais être obligé de sortir mon kit de torture pour réveiller les autres expressions qui sommeillent en toi. Je suis sûr que ton visage est dix fois plus beau lorsqu'il est déformé par la douleur.

Le jeune bilingue eut un frisson, et s'éloigna autant qu'il put du matheux. Grimaçant de dégoût et de peur face au sourire sadique de son ami, Nagisa se remémora son horrible cauchemar où l'autre garçon s'acharnait sur lui avec un plaisir indescriptible. Le souvenir de la douleur et le sang le fit blêmir.

Voyant la tête de son aîné se décomposer, Karma leva de nouveau la main vers lui pour le calmer. Mais l'éclat de peur pure qu'il aperçu dans son regard le dissuada de terminer son geste.

- Nagisa . . .

Karma troqua son sourire de sadique contre une expression plus rassurante, plus douce. Il voulu poser sa main sur la joue de son ami, mais ce dernier le repoussa.
Il tremblait.

- Nagisa, qu'est ce qu'il y a ? S'il te plaît, dit moi . . .

- NON !!!

Nagisa fut lui même surpris par le ton employé. Il était totalement terrifié, et ne savait plus quoi penser. C'était juste un mauvais rêve, Karma n'était vraiment pas un danger ! Bien qu'il soit assez spécial comme garçon, il n'avait jamais voulu lui faire du mal physiquement. Il ne devrait pas avoir peur de lui.

Pourtant . . .

C'était plus fort que lui. Il ne pouvait pas s'empêcher d'y penser. La douleur était tellement réelle... Ce plaisir à voir les autres souffrir, Karma l'avait réellement. Ce n'était pas juste un rêve, le rouge était vraiment un sadique qui s'amusait à torturer les gens. Bien qu'il ne s'en soit jamais prit à ses camarades de classe, Nagisa savait qu'il ne se retenait pas face aux voyous des banlieues et autres ennemis. Il l'avait déjà vu faire. Certes, il ne faisait pas couler du sang et se contentait seulement de leur mettre du piment dans divers orifices, mais les cris de ses victimes et le visage du garçon étaient semblables au déroulement de son cauchemar. Les images de cette nuit agitée défilèrent dans son esprit sans qu'il ne puisse les bloquer ; il sentit son cœur se serrer à chaque fois qu'il réentendait le rire sadique de Karma.

Et lorsque cette expression de sadisme se superposa avec son propre visage, il retint un haut-le-cœur. A la mémoire de ce changement de scène où il devenait le fou violent et Karma se transformait en sa victime en sang, le collégien aux cheveux azurs eut envie de crier. Non, il ne voulait pas revivre ça . . .

- Nagisa, l'appela à nouveau le matheux

- Ne me touche pas !

L'androgyne était au bord des larmes, tout son corps tremblait, mais il sentait que si Karma continuait de lui parler, il allait juste exploser. Et il ne voulait pas lui faire encore du mal. Il ne voulait plus faire de mal à personne.

-S'il te plaît, part...

La timbre brisé de la voix du garçon stoppa les mouvements du rouge. Il se trouva paralysé face à ce corps fragile parcouru de soubresauts. Nagisa semblait vraiment mal, mais il était incapable de l'aider. Que pouvait-il faire, à part l'écouter ? Ses yeux appelaient à l'aide mais son aura le repoussait. Karma reconnaissait cette tension, il savait qu'un mot de trop pourrait faire voler le garçon en éclat. Il semblait si fragile... Il n'osait pas le toucher, il ne pouvait pas s'approcher.

- Laisse-moi, va-t-en.

Ces mots étaient sans appels, il le savait. Il se sentait incroyablement impuissant face à la douleur de son ami. L'adolescent aux cheveux rouges ne savait pas exactement pourquoi son camarade réagissait ainsi, mais il avait très bien vu son visage effrayé lorsque leurs regards s'étaient croisés. Comment pouvait-il combattre une chose dont il ne savait rien ? Comment le protéger d'une peur invisible ? Il recula lentement vers la porte, et remarqua avec soulagement que son ami se calmait.

- Je . . .

Karma voulu dire quelque chose, mais après avoir vu l'expression de l'apprenti assassin, il se ravisa.
Nagisa avait peut être besoin de prendre ses distances et de réfléchir seul, au repos.

A contre cœur, la garçon posa sa main sur la poignée de port et, traînant sa perfusion derrière lui, sortit de la chambre en adressant un dernier regard inquiet à l'autre adolescent. Fermant la porte, il pensa : J'espère vraiment qu'il ira rapidement mieux... Je ne veux pas qu'il soit brisé. De toute façon il est fort, il s'en sortira. Il finira par s'en remettre et aller mieux.

De son côté, assis sur le lit d'hôpital, Nagisa pleurait silencieusement. Il avait dû repousser son ami, et ça lui faisait mal. Il espérait que ça ne serait pas pareil avec tout le monde. Il l'avait rejeté, pourtant , la chose dont il avait le plus besoin en ce moment, c'était qu'on le prenne dans ses bras. Il voulait être rassuré, il voulait qu'on lui dise que tout va bien, qu'il irait mieux. Mais à la place, il continuait de voir ces images d'horreur où il blessait ceux qui lui étaient chers.

Ce n'était pas de Karma dont il était effrayé, mais de lui-même.

- Je suis désolé Karma, murmura le bleu la tête sur les genoux. Sauve moi, s'il te plaît.


😎😎😎😎😎😎😎😎😎😎😎

Hey hey hey mes potatoes !


On reprend l'histoire là où on l'a laissé ; maintenant les chapitres ne devraient pas être trop différents de ceux d'avant la réécriture. Je n'ai pas beaucoup modifié celui-là si vous avez remarqué.

Vous avez vu comment j'ai bien rattrapé la chose ? Plus de clown, mais grâce au rêve (ou plutôt cauchemar) on a quand même la scène de peur et de rejet de l'aide de Karma. Je suis trooop fière de moi, je suis vraiment contente de la manière dont j'ai tourné les choses. Je veux dire, le psychopathe-tueur qui traumatise les gens, OK ça va deux minutes, mais il m'a complètement fait perdre de vue l'intrigue de base ! En plus il tient pas 5 chapitre ce con. Bref, maintenant on a tout ce dont on a besoin pour que l'histoire reste aussi cool et compréhensible qu'avant tout en gardant le cap !

Quelqu'un (je sais plus qui) avait dit que c'était dommage de supprimer la maison hanté car à cause du traumatisme du clown, Nagisa doit réapprendre à faire confiance à Karma, et que c'est une belle partie de l'histoire. Donc je me suis arrangée pour quand même avoir ce lien brisé qui doit être reconstruit entre nos deux protagonistes. En fait, moi aussi j'aime bien ce fait ^^

Mmmh, quoi d'autre ? Ah oui, autre plus de cette réécriture :on rentre à nouveau dans le thème ! Je sais pas si vous vous souvenez mais le titre du bouquin est Who I am? (ce serait vraiment bizarre que vous l'oubliiez puisqu'il est écrit en gros en haut de vos écrans) et traite de "l'instabilité mentale" de Nagisa (de ses pulsions de meurtre quoi). Or avec cette histoire de Maison Hantée et d'Hôpital, je l'avais complètement zappé ! Ouais je suis une auteure naze, j'ai beaucoup de mal à maintenir un sujet principal tout au long de l'histoire. Bref, ce cauchemar et l'attitude de Nagisa qui en découle permet de recentrer ce problème dans l'intrigue. Le scénario a donc évoluer autour de ce sujet dans les chapitres à venir ;)

Voilà, c'est tout pour moi !

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