unique.part - hanahaki.akaza
" Iel a envahi mes pensées, m'emprisonnant dans cette cage duveteuse qui me fait tant rêvé de (lui/elle) mais qui m'a alors fait cracher ses magnifiques fleurs à ronces qui ronge la vie sans sens que je mène jusqu'à ce jour. "
Akaza - Aimer au point de se ronger de fleurs
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Akaza a toujours été un jeune homme problématique. N'apportant que la honte, récoltant toujours le mauvais rôle, les mauvaises blagues, les insultes et les moqueries des autres.
Jamais on n'avait vraiment cherché à le connaitre réellement, même pas ses propres parents souvent trop occupés avec leurs métiers respectifs qui faisait alors qu'ils n'étaient pas vraiment présent pour leur fils, ou plutôt de leurs deux fils.
Le jeune garçon avait un frère jumeau du nom de Hakuji, ils avaient tout deux les même formes de visage ou de corps depuis tout petit et seul la couleur des yeux et des cheveux des deux enfants les différenciait. Mais si vous portez plus votre attention sur eux, il est remarquable que Hakuji est moins expressif que Akaza, moins sensible également.
Après tout, c'était logique, Hakuji était l'aîné des deux jumeaux et donc il recevait bien plus de pression que son petit-frère au début de leur éducation. Mais Akaza était bien plus oppressé que le noiraud quand il s'agissait de réussir.
Car Akaza n'était pas aussi bon que Hakuji.
On lui faisait rappeler tout le temps qu'il était si pitoyable comparé à son frère. Misérable copie défectueuse de celui-ci, il n'était pas aussi parfait que lui. Il avait toujours sentit une certaine haine envers ses personnes, il croyait toujours désespérément que ce n'était pas vrai mais la dure réalité le rattrapa : il était vraiment nul. Et une certaine rage contre son frère s'était également développé en Akaza, même si cette fois-ci, il avait décidé de ne pas le montrer concrètement.
Il était en rogne. Pourquoi était-il toujours meilleur que lui ? Pourquoi n'était-il pas mis en avant pour une fois ? Pourquoi c'était toujours lui qui devait pourrir, toujours lui qui devait être l'ombre ?
Mais il avait bien compris que Hakuji ne faisais pas ça par simple satisfaction, ils savaient tout les deux comment leurs parents étaient impitoyables donc tout deux devait toujours les satisfaire au maximum. Et c'était toujours Akaza qui les décevait, ça devenait une habitude à force maintenant.
Sauf qu'il avait rencontré une jeune fille, cette jeune fille avait le nom de Koyuki. Elle semblait si frêle, si naïve. Son jumeau et lui l'avait rencontré dans une rencontre entre adultes un jour.
Celui à la chevelure rose avait eu le coup de foudre dès le premier regard. Les deux garçons avaient tout de suite apprécié Koyuki.
Mais il a fallut qu'elle le choisisse lui.
En grandissant, les trois jeunes gens qui étaient devenu bons amis qui n'était pas pour déplaire les parents. C'était un jour, après les cours, au collège ainsi qu'à la tombée du jour, le ciel commençant déjà à rougir et s'assombrir que Akaza avait bien compris qu'il ne sera probablement jamais heureux éternellement dans sa vie.
Koyuki était tombé amoureuse de Hakuji.
Et ils avaient commencés à sortir timidement ensemble.
Akaza avait vu son premier amour se briser, disparaître avec son propre frère qui avait toujours été meilleur que lui, qui avait toujours tout contrairement à lui, toujours lamentable en bas de l'échelle à pourrir dans sa incapacité à le surpasser.
Un son désagréable d'un grincement de dents résonna dans ses tympans, une cloche qui annonçait que s'en était trop, qu'il n'en pouvait plus de se faire retirer tous ses bonheurs même éphémères et hors d'atteintes pour lui.
A partir de ce moment, il avait commencé à s'éloigner du couple tout naissant. Devenant encore plus médiocre, s'en foutant des avertissements et tout se qu'on pouvait lui faire subir par la suite.
Akaza était devenue le genre de personne détestable qui ne pense qu'à lui, à s'amuser et à se battre.
Égoïste c'était se qu'il était devenu.
Il ne portait plus aucune attention à Hakuji, ni à Koyuki. Il les ignorait simplement mais ses regards étaient pleins de mépris et étaient plus que glacial. Ils n'étaient plus que devenu des simples étrangers habitant dans la même maison, eux qui traînait tout le temps ensemble. Que se sois à l'école, dehors ou chez sois, ils étaient tout simplement ensemble permanence mais il a suffit qu'une goutte déborde soudainement du vase pour que un membre de l'ancien trio ne s'en aille, s'éloignant dans un lieu qu'ils ne pouvaient pas atteindre pour le récupéré.
La raison était si simple mais personne ne comprenait. En fait, personne ne cherchait à comprendre, de toute façon, la raison était aussi puéril qu'un caprice de gamin mais Akaza était détruit.
Le rosé avait finit par être classé de délinquant, traînant avec des personnes qui avait tout sauf une bonne influence sur lui. Mais qu'importe, il s'en foutait toujours complètement.
Il était arrivé à un point de non-retour, se perdant dans un dédale dans le noir le plus complet. Il combattait son propre esprit.
Tout se que voulait l'adolescent aux yeux d'or était oublié ce putain d'amour, effacé complètement ses sentiments, enfouir à jamais dans le plus profond des trous ses émotions qu'il éprouvait tous les jours et qu'il le faisait horriblement souffrir. Une blessure qui restera longtemps gravé dans son cœur, qu'il se disait que personne ne pouvait pas pensé, même lui même si il s'enfermait dans une carapace.
Un jour des plus banal, il s'était encore battu et enfin quelqu'un lui avait tendu la main alors qu'il était blessé.
C'était (un/une) jeune (homme/femme) du nom de [t/N] [t/P], avec un sourire rayonnant et toujours inquiet pour le jeune homme devenu au bout du gouffre.
" Jeune homme ! Vous ne pouvez pas retourner en cours comme ça !
- Vous êtes qui ?
- Ho. Je m'appelle [t/N] [t/P], je suis (le/la) (nouveau/nouvelle) (infirmier/infirmière) de l'établissement ! Considère toi comme chanceux que je t'ai trouvé en premier, si un professeur t'avait vu, il t'aurai donner deux heures de colle ! Aller viens à l'infirmerie. "
Akaza était troublé, cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas croisé un adulte aussi sympathique avec lui. Alors il était tout docile et s'était fait silencieusement soigné par cette étrange personne très ouverte d'esprit qu'était [t/P].
Ils avaient alors commencé à discuter ensemble, et ils avaient souvent les mêmes goûts et quand ce n'était pas le cas, leurs débats étaient souvent des plus drôles mais également sérieux. Depuis ce jour-là, celui aux yeux dorés se sentait plus léger, de bonne humeur et il avoue que des fois il faisait un peu exprès de se blesser pour sécher les cours et parler avec l'(infirmier/infirmière) du lycée qui était à peine plus âgé que les élèves de l'école.
Il était de nouveau tombé amoureux. Éperdument amoureux de [t/P]. D'un amour bien plus fort que celui qu'il avait porter pour Koyuki au collège. Ce sentiment qu'il ressentait était bien plus violent mais bien plus doux, le faisant sentir sur un petit nuage à chaque fois qu'il voyait [t/P] ou discutait avec (lui/elle).
Mais n'est-ce pas aussi une cage duveteuse dont l'oiseau blanc ne peux s'enfuir ?
Akaza était malade, malade d'amour. Cette amour qui semblait qu'être que à sens unique l'avait rendue heureux mais il souffrait toujours. Il était quotidiennement pris d'affreuse toux, le faisait atrocement souffrir au niveau de la gorge, de la poitrine et du ventre. Alors qu'il était pour une énième fois à l'infirmerie avec [t/P] cette quinte de toux lui avait fait cracher du sang mais également une rose aussi rouge que ce même sang avec milles et une épine tranchante, rempli de ronce qui lui broyait la gorge. Ses poumons étaient douloureux, souffrance sur souffrance qu'il endurait en ce moment.
C'était à ce moment qu'il avait pris conscience de ce sentiment qu'il avait tant voulu faire disparaître de son être.
" Akaza !? Ho mon dieu, tu craches du sang et ... une rose ?
- Ugh... Pourquo- KOF KOF !
- Reste tranquille, je vais cherché u-un médicament pour la toux e-et appeler l'hôpital ! "
Non. Il ne voulait pas aller se faire soigner. Il voulait simplement rester aux côtés de (celui/celle) dont il était tombé sous le charme dès le premier regard. Tout se qu'il voulait c'est être heureux. Tout se qu'il voulait c'est de ne plus jamais (le/la) faire pleuré, plus jamais l'inquiéter et pouvoir être à ses côtés pour toujours. Des larmes coulaient tout doucement sur ses joues pendant qu'il perdait conscience, s'endormant sous les bruis paniqués de [t/P].
Et les jours qui suivirent, il ne pouvait s'empêcher de cracher de nouveau ses fleurs de toutes sortes mais qui avait tous un lien avec l'amour et l'amour à sens unique pendant plusieurs semaines se qui avait beaucoup inquiété son frère et son amie d'enfance.
Il avait même fini hospitalisé, sans pouvoir aller à lycée puisqu'il perdait trop de sang, il ne pouvait pas aller voir [t/P] et il était si triste. Hakuji et Koyuki ont voulu lui rendre visite mais il refusait, il ne voulait pas que ses deux là viennent, il voulait simplement pourvoir voir [t/P] dans son mal juste pour avoir de la douceur pendant quelques instants même en sachant qu'(il/elle) ne l'aimera jamais comme il l'aime.
Ce jour de printemps, quand il s'était de nouveau réveillé dans un lit d'hôpital. (Son/Sa) bien-(aimé/aimée) endormi prêt de ce même lit, il était surpris. Depuis son séjour qui semblait bel et bien sans fin dans ce lieu, il n'avait pas pu voir (le/la) voir une seule fois alors (le/la) retrouvé ici si prêt de lui le surprenait. Mais un fin sourire sous une petite mine fatigué se forma. Il murmura des mots inaudibles dans sa fatigue.
" Alors ce n'est que maintenant que tu viens me voir pendant que je suis en train de mourir à cause de toi. Tu as vraiment le don de me rendre fou de toi, je me demande pourquoi je ne peux m'empêche de dire que ce n'est pas de ta faute si je suis dans cette situation alors que ça l'ai entièrement... "
Quelques minutes après, [t/P] se réveilla en sursaut pendant que le rosé regardait le ciel, une main sur les cheveux de l'(infirmier/infirmière) les caressant tout doucement, perdu dans le paysage d'un soleil se couchant dans une ville où la science avait pris possession.
" Akaza !
- Bonsoir [t/P].
- Je suis désolé ! Désolé, vraiment ! J'aurai dû aller te voir plus tôt, ton état s'est encore plus empirer qu'avant !
- [t/P] ... "
(Il/Elle) l'avait pris dans ses bras, en pleurant, larmoyant sur l'état du lycéen. (Il/Elle) était tellement triste, (il/elle) connaissait si bien cette maladie même si (il/elle) ne voulait pas y croire au début.
" Akaza, dit moi de qui tu es amoureux, je vais la ramener.
- Non.
- Mais pourquoi ! Tu vas m-mourir ! J'en ai parler à tes parents mais ils ne veulent pas m'écouter ! Ils ne veulent même pas te faire une opération ! C'est juste ignoble...
- Je ne veux pas. Car cette personne est juste devant moi. "
[t/P] avait pris plusieurs secondes avant de comprend, une main devant sa bouche, toujours les larmes aux yeux , semblant totalement choqué. Akaza avait alors compris que ce n'était pas autorisé d'être amoureux de [t/P]. (Il/Elle) était adulte et lui n'était qu'un simple lycéen puéril qui allait mourir car il souffrait d'une maladie qui le ronge de l'intérieur.
" Désolé [t/P]...
- N-non ne t'excuse pas. Je t'aime Akaza, je t'aime tellement. C'est pour ça que je ne veux pas que tu meurs mais je n'aurai jamais cru que nos sentiments étaient réciproques. Je ne suis pas autorisé à être (amoureux/amoureuse) d'un élève d-donc je ne pouvais pas te l'avouer.
- Vraiment ? Tu m'aimes [t/P] ?
- Oui ! "
Pendant que [t/P] essuyai ses larmes, de pleurs coulèrent des joues de celles de Akaza qui semblait être dans un rêve éveillé, il était heureux. Ses sentiments étaient réciproques, de quoi être des plus heureux. Sa poitrine était devenue légère, sa respiration plus paisible et ses poumons étaient devenu moins douloureux.
Il avait un sourire comparable au soleil pendant qu'il embrassait tendrement [t/P], (surpris/surprise) mais qui ne rejeta pas le baiser.
Même c'était interdit maintenant, Akaza et [t/P] pouvaient encore attendre quelques années avant de réellement se faire appeler couple.
Mais pour l'instant, ils savouraient tout deux un nouveau amour éclatant sous un doux coucher de soleil, le ciel rougissant et s'assombrissant vers une couleurs des plus sombre.
" Je t'aime [t/P].
- Moi aussi Akaza... "
2076 mots
Fin de merde bonjour :')
Moi avoir fait une panne d'inspi à la fin du OS, rip moi
Bref, ce OS est dédié à ShikasaLaDinde, de toute façon presque tous les Akaza x Reader lui sont dédiés :3
Je l'es pas publié sur mon compte principal car je vais écrire tous mes KNY Perso x Reader sur ce compte !
Voila voila U_U
Bye !
26/07/20
|| La cover est de moi :333 ||
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