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𝟗. 𝐂𝐡𝐞𝐜𝐤𝐦𝐚𝐭𝐞 𝐛𝐚𝐬𝐭𝐚𝐫𝐝𝐬


nda : Ce chapitre est l'un de mes favoris, et surtout, il comporte pas mal d'informations. N'oubliez pas que Hoseki est un véritablement casse-tête, dans lequel je vous ai invité. Sachez relever les bons détails. Les musiques conseillées ci-dessous vous permettront de vous plonger dans le chapitre, une par partie. Bonne lecture~


Decision - Ma Sang Woo

My name - Swervy, JEMINN


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Alors qu'il était assis devant son ordinateur portable, scrutant son écran avec attention, le jeune homme fut coupé de son silence en sentant un de ses portables sonner. Il pensa d'abord à jeter un œil à son portable personnel, mais ce dernier était toujours éteint. Le jeune homme l'éteignait toujours après le travail, afin d'être sûr de ne pas être dérangé dans son activité.

D'ores et déjà agacé, le jeune homme se leva de sa chaise après avoir fermé ses onglets, et souria à la jeune femme qui servait encore au bar, lui demandant de surveiller ses affaires pendant qu'il passait un coup de fil à l'extérieur.

Lorsqu'il fut dehors, il sortit une cigarette de la poche de sa veste, et replaça la casquette sur son crâne, avant de sortir de son autre poche, un vieux téléphone à clapet. Ce dernier ne cessait de vibrer dans sa main, à multiples reprises. Pourtant, le jeune homme continua de le regarder comme s'il était écoeuré de l'avoir en main. En fait, il était plutôt en colère de le sentir vibrer à répétition. Puis, soufflant sa fumée après deux bouffées sur sa cigarette, il finit par décrocher.

J'écoute.

Je suis désolé de vous contacter ainsi, Shinigami.

Qui est à l'appareil ?

Le jeune homme put entendre son interlocuteur se racler la gorge de l'autre côté du téléphone. Il aurait même pu se mettre à sourire, en l'imaginant, le front dégoulinant de sueur, puisqu'il savait que son ton avait été froid.

Ici...Ici Genbu, Monsieur.

Shinigami, le corrigera le jeune homme, tirant sur sa cigarette qu'il avait coincé au coin des lèvres, je vous avais dit de ne pas me contacter sur ce téléphone.

Désolé, veuillez m'excusez Shinigami...

Le jeune homme pouvait facilement reconnaître le son de sa voix qui avait légèrement déraillé, la façon dont elle avait tremblée. Il pouvait facilement deviner son interlocuteur, assis devant son bureau luxueux, une main posée sur son cellulaire à fil, qu'il devait tordre dans ses doigts, tandis qu'il sentait des gouttes de sueur couler dans son dos, faisant coller le tissu de sa chemise contre ce dernier.

Vous avez deux minutes.

Monsi...Shinigami, reprit l'autre homme, je suis désolé, la...La mission me fait peur et je...On nous demande beaucoup d'avance et un tas d'autres choses et je...Etes-vous sûr ?

Vous avez peur ? Répéta le jeune homme, non sans rire derrière son combiné.

Il entendit l'autre homme avaler de travers au l'autre bout du téléphone, et tout en écrasant le foyer de sa cigarette qu'il regarda tombé sur le béton, le jeune homme écrasa le reste de sa drogue entre ses doigts.

Répondez. Peur, vous dites ?

Oui Monsi...Oui, Shinigami. j'ai...J'ai des doutes et je m'inquiète à propos d-

Que vous arrive-t-il Genbu...Le coupa le jeune homme, faisant tiquer sa langue contre son palais et secouant la tête dans le vide. Vous avez peur de quoi, exactement ? Vous voulez me lâcher ?

Non ! Non, Monsieur. Loin de moi cette idée, veuillez m'excuser de m'être mal exprimé. Nous avons reçu les dernières indications cryptées sur notre réseau. Seulement voilà...J'ai quelques doutes à propos de ces informations, aussi, je pensais pouvoir discuter avec vous à propos de ces demandes d'avan-

Mon cher Genbu...Devrions-nous parler de vos activités sur notre réseau ? Le coupa une nouvelle fois le jeune homme, faisant tourner son mégot vide entre ses doigts, tout en se retournant vers la vitrine du bar, offrant un beau sourire à la serveuse qui le fixait. Dois-je vous rappeler que ce n'est aucunement vous qui menez la partie. Si vous décidez de me lâcher, je peux vous assurer que mes hommes se feront un plaisir de vous retrouver, où que vous soyez, pour vous arracher la peau et revendre vos organes sur le marché noir. Je ne ferais aucune avance de moyens, et si vous refusez de coopérer, alors...D'une seule main, le jeune homme arracha le bout du mégot, imaginant plutôt une des têtes de ces traîtres à son bout. Alors avant même que vous ne pensez à vous échapper, la justice se fera un plaisir de découvrir vos activités illégales. Aussi, vous pourrez dire adieu à votre statut, ainsi qu'à vos privilèges. Et nous savons tous deux, à quel point il serait dommage de laisser votre chère fille dans les mains des hommes du réseau....N'est-ce pas ?

Une nouvelle fois, le jeune homme put entendre son interlocuteur avaler sa salive de travers. Cependant, ce n'était que de cette façon qu'il pouvait faire régner son pouvoir et imposer son respect. C'était par le chantage et les menaces qu'on lui avait appris à gérer le monde, et puis, ce serait mentir que de dire qu'il n'aimait pas cela. Comme à chaque fois, il pouvait sentir son coeur battre un peu plus fort, plus il se rapprochait de son but

N'est-ce pas ? Appuya une seconde fois le jeune homme, las de ne recevoir aucune réponse de la part de son interlocuteur.

Ou-oui, Monsi...Shinigami. Mais à propos d-

A propos de quoi ? Demanda le jeune homme, la mâchoire crispée.

A propos de l'argent.

Et bien, quoi ? Parlez. Le temps file à toute vitesse Genbu...Tic, tac. Tic, tac, se mit à rire le jeune homme.

J-je...A propos de cette somme Monsi...Pardon, Shinigami. C'est un prob-

Votre problème, qui n'est pas le mien. En effet.

De l'autre côté du combiné, l'autre homme sentait son cœur battre à tout rompre et les gouttes de sueur lui tomber sur le nez. Il avait peur, et n'importe qui d'autre à sa place aurait eu peur. Il savait à qui il s'adressait, en partie. Et ce dont il était sûr, était qu'il ne pouvait aller contre sa volonté au risque de voir toute sa vie défiler devant ses yeux.

On avait convenu qu-

On ? Répéta le jeune homme, soudainement intéressé.

Puisque il avait beau chercher, il ne se souvenait pas avoir conclu quoi que ce soit avec cet homme. Du moins, il avait, et ce comme toujours, fixé les règles de leurs accords. Ni plus ni moins que ses propres règles.

Je crois avoir suffisamment payé pour toutes les choses dégueulasses dont vous profitez sur notre plateforme. N'est-ce pas, Genbu ? Aurais-tu la mémoire courte ? Dans ce cas, aurais-tu besoin d'une petite piqure de rappel ?

Oh que oui, s'il continuait ainsi, il allait se faire un malin plaisir à lui rappeler qui était le maître de la partie. Et si cet enfoiré continuait d'insister à propos de la maudite somme qu'il lui avait demandé d'avancer, alors il le tuerait de ses propres mains.

Euh....Oui ?

Oui qui, Genbu.

Oui, Monsieur.

Pardon ? Souleva le jeune homme, faisant grincer ses dents contre son cellulaire.

Oui, Shinigami.

Bien. Voilà que les choses sont claires. Pas vrai, Genbu ? Reprit tout bonnement le jeune homme, passant l'une de ses mains sur sa veste comme pour en faire partir la poussière imaginaire, tandis qu'il tenait son téléphone entre son oreille et son épaule. Puis il se redressa, et se retourna une nouvelle fois pour sourire à la charmante jeune fille du bar, qui l'attendait toujours sagement. Notre discussion est terminée. Comme demandé, votre transaction exceptionnelle sera prête pour ce soir. Désormais, n'appelez plus jamais ce numéro et veuillez me contacter via la plateforme en cas d'urgence. Compris ?

Le jeune homme n'attendit pas que son interlocuteur lui réponde, et lui raccrocha au nez sans aucune peine. Ainsi, il termina sa nouvelle cigarette dans le silence, faisant mine de checker ses notifications sur ce vieux portable qui datait de la fin des années 90, avant de pousser à nouveau la porte du café.

Je vous remercie mademoiselle, j'ose espérer que l'attente n'a pas été trop longue ? Dit-il, se penchant vers le canapé afin d'y récupérer son sac, dans lequel il commença à ranger ses affaires.

Pas du tout ! Pas du tout...Votre coup de téléphone s'est bien passé au moins ? Demanda la jeune femme, avant de se reprendre et de se mettre à rougir, saisisant qu'elle avait quelque peu franchit les limites de cet inconnu. Veuillez m'excusez je...J'ai juste paniquée et je...J-je...Oui, ne vous inquiétez pas Mon-monsieur.

Le jeune homme la fixa un instant, lui offrant le plus beau des sourires, ce qui la détendit à nouveau. Puis, il la remercia encore pour avoir été si aimable, avant de passer les portes du café.

Bonne journée mademoiselle, bon courage.

En espérant vous revoir bientôt, Monsieur !

Une dernière fois, il lui sourit avant de décamper pour de bon. Lorsqu'il eut quitté le quartier, le jeune homme attrapa sa capuche et la balança d'un seul coup sur sa tête, rangeant férocement ses mains dans ses poches. D'une main, il sortit alors le portable à clapet, qu'il tint dans sa paume jusqu'à ce qu'il n'arrive à un pont qui donnait sur le fleuve.

Jetant un œil à droite, puis à gauche, il jeta avec force le téléphone sur le sol, qu'il commença à détruire sous son pied, puis il le ramassa du bout des doigts, et le jeta par-dessus les barrières.

Passant la langue sur ses dents et massant ses deux mains l'une dans l'autre, il se félicita lui-même de s'être débarrassé de cet objet sans aucune valeur, et se remit en marche dans les ruelles urbaines, qui ne cessait de s'assombrir, plus le soleil cédait sa place à la lune.

Bande de bâtards...La vraie partie commence bientôt.


*


Les ruelles de Séoul ressemblaient toujours à un drôle de spectacle, la nuit venue. Si l'on décidait de se poser là, à observer le temps qui passe, on pouvait difficilement compter le nombre de voitures qui y passaient à la minute, offrant un magnifique kadélicescope de lumières et de couleurs changeantes. Ces dernières se mélangeant facilement avec toutes ces images qui défilaient sur les gigantesques écrans accrochés aux multiples buildings.

Cependant, ce n'était pas dans ces grandes rues occupées que Namjoon se dirigeait.

Après avoir emprunté quelques lignes de métros, il avait continué de marcher, ses pieds foulant le bitume, jusqu'à arriver à un vieux port abandonné d'Incheon.

Il s'y était rendu seul, les mains dans les poches, portant simplement sa veste de jean sur le dos, ignorant la légère brise de vent sur sa peau.

Sur les docks, l'ancien colonel scruta les environs, avant d'entrer dans un drôle d'entrepôt abandonné. Seule la faible lumière blanche d'un vieux néon éclairait l'endroit, aussi sombre et cauchemardesque que ses vieux souvenirs. Dans un mélange de fer et de cuivre, Namjoon continua d'avancer, les mains dans les poches et un bâton de sucette coincé entre les dents, avant de s'arrêter devant un miroir brisé.

Cet entrepôt avait anciennement dû servir servir d'abattoir, c'était ce qu'il avait pensé en voyant les drôles d'ustensils pendre derrière lui. Des sortes d'anneaux et de crochets en tout genre, qui avaient été bien abîmés par les vestiges du temps.

Vous êtes là !

Le sortant de ses songes, l'homme à qu'il avait donné rendez-vous dans lieu plus glauque que la mort elle-même venait d'arriver, assez paniqué. Il portait un costume qui devait valoir une petite fortune, et il ne cessait de tirer sa cravate, comme si cette dernière l'empêchait de reprendre correctement sa respiration. Jetant des coups d'œil dans toute la pièce, l'homme s'approcha craintivement de Namjoon, essayant de cacher au mieux ses mains qui tremblaient légèrement.

Beom-Su...Lui souffla le colonel, ne vous inquiétez pas, je suis venu seul.

Le dénommé Beom-Su hocha la tête, non sans jeter un dernier regard aux alentours avant de lui porter toute son attention.

Voici ce que vous m'avez demandé, lui dit-il, tendant une grosse enveloppe bombée à Namjoon. Pour avancer les frais, comme convenu. Vous avez pu les trouver ?

Avant de lui répondre, Namjoon lui prit l'enveloppe marronée des mains, et d'un doigt, il vint en défaire l'attache, puis il commença à compter les billets. Certain de la somme qu'elle contenait, il glissa à nouveau l'argent dans l'enveloppe, qu'il rangea ensuite dans une poche à l'intérieur de sa veste.

J'ai mon équipe, si c'est ce que vous demandez.

Très bien, souffla l'homme, comme soulagé de l'apprendre, qui sont-ils ?

Vous n'avez pas besoin de le savoir, répondit froidement Namjoon, machouillant son bâton de plastique qu'il fit passer de l'autre côté de ses lèvres. Sachez que j'avais besoin de cette avance pour nos frais. Accordez-moi quatre mois.

Quatre mois ? Répéta l'homme en costume, fronçant légèrement les sourcils.

De préparation, reprit Namjoon, passant la langue sur ses lèvres. Nous allons partir.

Où voulez-vous aller ?

Avec tout le respect que je vous dois Monsieur, ce détail ne vous regarde pas. Vous me faites confiance, pas vrai ?

L'homme sembla hésiter avant de répondre. Il n'était pas des plus à l'aise, dans ce drôle d'endroit. Tout était si sombre, si grand en en même temps si angoissant qu'il aurait pu s'inventer claustrophobe. A vrai dire, cet entrepôt était vraiment terrifiant.

Ouais...Ouais, je vous fais confiance, Kim.

Bien.

Ayant eu assez de mâchouiller son bâton de plastique, Namjoon l'attrapa du bout des doigts, et le jeta à même le sol, sans se soucier une seule seconde de ces problèmes d'écologies. Aussi, il fallait dire qu'il n'en avait peu à faire, sachant la mission qui l'attendait.

Pendant ce temps, l'autre homme n'avait su quoi faire de ses propres mains, les massant l'une dans l'autre, resserrant avant de desserrer sa foutue cravate autour de son col. Il semblait plutôt impatient de quitter les lieux, s'imaginant qu'il pouvait se retrouver aussi vite dans un traquenard bien trop ficelé.

Puis, Namjoon passa l'une de ses mains dans les poches de sa veste, sortant un vieux portable à clavier, celles dont les touches comportaient encore les numéros et ces trois lettres à leurs côtés.

Je vous confie ce téléphone, il est crypté. Cette ligne vous liera seulement à moi, et vous permettra de communiquer seulement avec moi, et uniquement moi. Cependant, je vous demande de n'en faire usage qu'en cas d'extrême urgence. Je me chargerais moi-même de vous contacter lorsque nous aurons terminé notre phase d'entraînement. Vous y trouverez aussi une adresse électronique, qui vous redirigera directement sur un compte bancaire. Toutes les transactions se feront sur ce dernier.

Très bien, mais-

Monsieur, mes instructions sont précises. Je vous demande de les suivre à la lettre, afin de conserver le bon déroulement de la mission. Lors de notre prochain appel, cela lancera le réel lancement de la mission. A partir de là, plus aucun contact ne sera permis jusqu'à la fin. Ai-je été assez clair ?

L'autre homme secoua la tête, baissant les yeux sur ce fameux téléphone qu'il tenait désormais entre ses mains. Namjoon le regarda, restant totalement silencieux face aux nombreux signes qui traduisait facilement son stress et sa précipitation.

Dans ce cas, si tout est clair...Je vous contacterai pour une prochaine avance d'ici peu.

Attendez, mais...? Comment ça ? Demanda l'homme, surpris, tandis que Namjoon commençait à s'éloigner.

Ne vous inquiétez pas, Monsieur. On déduira cela de la somme finale, vous pourrez le prendre sur ma part. Nous ne sommes pas à ça prêt, après tout. Nous serons bientôt prêts.

Rangeant de nouveau ses mains dans les poches de sa veste, Namjoon commençait à partir lorsqu'il entendit l'autre homme le rappeler.

Colonel !

Bien qu'il avait envie de le reprendre en lui disant que ce n'était plus son titre depuis bien longtemps, Namjoon n'en dit rien, et fit volte face, lui faisant un signe de tête pour qu'il continue de parler.

Pourquoi...Bientôt prêt ?

Et bien...souffla Namjoon, attrapant une nouvelle sucette de sa poche qu'il sortit de sa petite prison de papier, et qu'il enfonça entre ses lèvres avant de reprendre. Il manque la pièce maîtresse de mon échiquier, mais...Considérez qu'il est déjà avec nous.

En êtes vous sûr, Colonel Kim ?

Coinçant sa langue entre ses dents, Namjoon ne put contenir son sourire franc, puis il fit craquer un bout de sa sucrerie entre ses molaires, avant de souffler doucement :

Bientôt, échec et mat.

A ces mots, Namjoon fit un léger signe de tête à son client, et se retourna pour de bon, reprenant sa marche jusqu'à l'immense porte de l'entrepôt. Maintenant que tout cela avait été dit, il n'avait plus qu'à rentrer jusqu'à chez lui pour préparer ses bagages, afin d'aller chercher lui-même la dernière personne dont il avait besoin pour réellement faire son travail.

S'il était heureux d'y aller ?

Namjoon n'en savait rien. A vrai dire, il se sentait plutôt pris de sentiments controversés à propos de cette personne, mais il avait beau y avoir réfléchi...Personne d'autre que lui ne pouvait tenir ce rôle. Il avait besoin de lui, comme il avait besoin de tous les autres, afin de mener à bien la mission qu'on lui avait confier.

Vous aimez aussi les échecs, alors ? Lança l'homme au costume, toujours planté comme un idiot au milieu de l'entrepôt.

Arrivant enfin devant la porte de ce dernier, Namjoon posa l'une de ses mains sur les murs de métal.

Ouais...Essentiellement quand je gagne. Mais souvenez-vous Monsieur...

Vous gagnez tout le temps, finit l'homme, baissant à nouveau les yeux sur le portable qu'il tenait dans sa main.

Puis, d'une seconde à l'autre, il se retrouva complètement seul dans ce grand entrepôt délabré. Namjoon avait disparu, et il n'y avait plus que le bruit sourd de la ville et des usines qui chantait à l'extérieur. 

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