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ㄨⅦ ◆Fιrsτ sτερ οuτsιdε

On avait rapidement fini par se mettre d'accord et de se retrouver au foyer ce jeudi là, avant que chacun d'entre nous ne reparte à ses propres occupations personnelles.

Moi avec Armin et Mikasa, lui à ses mystères que personne ne semble avoir connaissance.

Fort heureusement, c'était l'heure du repas qui avait sonné.

Nous faisions ensemble notre chemin vers le lieu de restauration, la discussion légère.
Même je devais avouer être un poil plus tendu qu'à l'accoutumée, les interventions surprises d'une fille à lunettes étant devenues plus régulières depuis une certaine demande qui avait était refusée.

Mais elle n'était nulle part en vue.

Tant mieux, avais-je pensé en soupirant.

Bientôt, un repas fut prit, et à une table libre nous nous sommes installés.

"Dis, Eren" c'est Armin qui avait commencé à parler d'autre chose que de son dernier cours d'expression littéraire "comment ça se passe, ta colocation avec Livaï ?" crois moi, rien n'était plus désastreux, que d'être enfermé avec lui.

"Ça va. On arrive à cohabiter, c'est déjà pas mal !" un petit sourire neveux s'affichait sous le regard charitable du blondinet.

"Je vous jure que s'il te fait ne serait-ce qu'une misère, j'irais lui botter le cul comme il ne se l'ai jamais fait auparavant..."

"Hehe, calme Mikasa ! Regarde, il ne m'est rien arrivé de malencontreux depuis la réorganisation, et je suis sûr que rien ne changera plus qu'avant !" on n'était pas à quelques plumes près ...

"Tu dis ça, mais..." Armin avait subitement affiché une mine soucieuse, alors qu'il commençait à me fuir du regard, comme s'il allait regretter ce qu'il allait sortir "On dirait que t'as changé depuis que tu t'ai retrouvé avec lui. Même quand t'es avec nous, tu sembles toujours sur tes gardes, comme redoutant une catastrophe. Et encore plus qu'avant..." même murmuré au plus bas j'avais entendu cette dernière phrase que je fus probablement le seul à entendre, alors que Mikasa sembla s'offusquer que Livaï ait pu me changer en mon plus profond intérieur.

Je n'avais jamais entendu Armin sortir une telle phrase, ni même commenter mon attitude 'distante' avec le monde, dont eux avant ce jour.

Et ça m'inquiétait.
OK que j'ai changé depuis que je suis avec l'autre brun. Les chances pour que je me fasse griller avait extrêmement augmentée depuis ce jour. D'autant plus qu'une autre brune me courait après pour que j'intègre un groupe dont je ne souhaitais pas faire parti.

C'était son 'avant' qui me dérangeait.
Armin était loin d'être idiot, mais qu'il remarque à ce point ce que j'avais tenté de dissimuler...

C'est comme si tout ce que j'avais fait pour les préserver n'avait servi à rien.

Sauf peut être pour Mikasa.
Parce qu'elle continuait d'agir de la même façon.

"Euh... Ouais .. Peut être ... C'est vrai que c'est pas non plus simple de se retrouver avec lui... Hehe, mais c'est pas non plus comme si j'avais le choix !"

Armin hocha simplement la tête, alors qu'il sembla légèrement blessé que la vérité ne soit pas vraiment là.

Il savait que je tentais de camoufler un truc, je le savais.

Mais bon.

Avoir Livaï sur mon dos était déjà suffisant pour qu'Armin ne rejoigne le bataillon.

Ce sujet de conversation n'alla pas plus loin, chacun de nous deux n'écoutant que les propos dépourvus de sens de Mikasa, déblatérant sa rage contre mon partenaire de chambre pour avoir 'changer' son Eren adoré.

Elle peut vraiment être un cas extrême, quand elle le veut.

La journée s'était terminée sans plus de soucis, Hanji n'étant intervenue qu'à deux reprises avec sa demande exerbante.

Elle aussi semblait sérieuse avec cette histoire de convaincre.

C'est également à cause d'elle que j'avais désormais peur de me rendre dans la salle de musique.

C'est à cause d'elle que je redoute d'exercer ma musique.

C'est à cause d'elle et Livai qu'une énergie dévastatrice se clôt dans mon être sans moyen de libération.

C'était dur à tenir.
C'est comme lorsque t'as faim, que ton ventre grommelle, qu'il te fait comprendre qu'il ne demande qu'à être rassasié, qu'il va jusqu'à te faire plier en deux pour répondre à ses exigences, mais ... Sans jamais que tu ne puisses trouver de quoi le nourrir.

En faite, j'avais faim de me liberté a jamais inaccessible.

Alors comme on tente de s'imaginer mâcher un chewing gum pour simuler au cerveau qu'il avait de quoi se mettre sous la dent, je m'imaginais les sensations que me procurait ma musique, la sensation de mes doigts effleurant, caressant, appuyant, percutant, s'acharnant sur les touches d'un clavier bicolore; le son que ferait les cordes une fois en contactes avec les chevilles, la douceur ou la violence qui s'en dégagerait.

Mais rien ne fut.
Mes doigts ne faisait que frapper l'air, et aucun son ne fut provoqué.

Ce n'était que simulation.

Néanmoins, ça m'avait permis de légèrement dissiper cette envie incommensurable.

Bientôt, le jeudi arriva.
C'était l'avant-veille du début des vacances de Noël.

Personne n'osait plus sortir sans gant ni bonnet, et la neige menaçait à tout instant de tomber.

Le rendez-vous, si nous pouvions appeler ça comme ça, s'était tenu comme convenu au foyer.

Nous avions juste nos sacs avec nous et une après midi pour définir un minimum de choses sur ce projet qui allait être, je le savais, compliqué à organiser.

Le léger hic, bah ce fut Hanji.
Nan, le gros Hic, parce qu'à ce point la c'était plus possible.

Déjà, nous avions avec Livaï, un communiqué verbale peu développé.
Vraiment très peu développé.
Ajoutons une chtarbée qui ne faisait qu'intervenir dès que l'un d'entre nous deux tentait de placer un mot, que se soit pour le projet ou justement pour la faire taire.

En gros, Hanji avait été le principal problème.

Ensuite, il y avait eu Mikasa, Armin respectant religieusement notre sois disant temps de travaille.

Et juste parce qu'Hanji tournait autour de manière prédatrice, Mikasa au tempérament plutôt bouillant lorsqu'il s'agissait de me ... 'déranger', n'en pouvait plus de la voir s'affaler à droite à gauche, de s'extasier juste parce que ....

....

Parce que rien, justement.
Hanji était comme ça, et rien ne semblait pouvoir la contenir.

Même Livaï, lui qui d'habitude était si froid et distant avec ses affaires, semblait s'énerver du à son manque d'autorité.

En dernière cause de choix, Livaï sembla trouver la seule solution qui nous permettrait d'avoir une chance d'étudier sans distraction.

D'une manière que je n'avais au grand jamais vu, il l'avait plaquée au sol, l'immobilisant enfin de ses danses pittoresques pour lui murmurer quelque chose à creux de l'oreille, celle ci s'étant soudainement calmée.

Le plus perturbant, ce fut qu'elle soit restée dans ce grand calme qui enfermant une profonde excitation dans son regard lorsqu'elle se redressa avec un grand sourire idiot scotché sur les lèvres.

Je ne savais pas ce qu'avait pu dire le Corbeau à cette folle, mais ça avait fait son effet.

Alors que je restais ahuri devant cette scène insolite, une poigne se referma subitement sur mon avant bras.

Elle était puissante et ne semblait vouloir me lâcher à l'instant présent.
Elle me glaçait le sang tout en me réchauffant.
Dans un sursaut de pure panique, je tentai de m'en extirpa rapidement, avant que je ne me rende compte que ce n'était que Livaï.

Ce n'était que lui, et je ne comprenais pas pourquoi le fait que ce ne soit que lui fasse relâcher les muscles de mon corps qui s'était préparé à une éventuelle attaque.

Je ne comprenais pas pourquoi à la vue de cette poigne, le frisson glacé se transforma en bourdonnement chaleureux, en harmonie à la sensation de chaleur, presque la même que lorsqu'il m'avait effleurer la peau.

Je ne comprenais pas toutes ces sensations jamais ressenties par le passé, lorsqu'il me tirait loin du regard psycopathique d'Hanji, nos deux sacs sur son dos alors qu'il nous entraina hors de l'établissement.

Il avait le pas rapide et ne semblait pas vouloir trainer.
Mais on ne pouvait pas dire que je le suivais loin de là.
J'étais rétissant au fait qu'il me tire loin de là, dans un endroit à l'improviste, et il me trainait plus qu'autre chose.

Nous traversion quelques rues, empruntant carrefours sur croisement, jusqu'à celui où il décida de s'arrêter net.

Je bénissait cet arrêt mais n'en resta pas moins inquiet lorsqu'il se tourna vers moi, la mine désenchantée.

"Tsk, tu veux que je te porte aussi ?" je n'osai répondre à son ton tranchant, me contentant juste de relooker nerveusement une mini Cooper qui passait par là en me dégageant de sa poigne qui ne s'était jamais desserrée depuis la sortie de l'établissement.

Il dévia lui-même son regard avant de reprendre la route, me redonnant mon sac au passage.

Où comptait-il aller de le sorte ?

La pensée ne me fit pas chaud au coeur, mais une partie de moi refusait de le suivre, sous la peur de se faire violencer.
Avec les derniers événements, nous n'étions sûr de rien.
À l'opposé, quelque chose d'autre me confortait, qu'il m'avait sauvé il y a peu de temps, et qu'il ne présentait aucune menace.

Sauf s'il découvre accidentellement pour ton dos

Les deux avis dans ma tête ne pouvaient qu'acquiescer à cette remarque.

Alors, pour départager ce débat interne, j'ai pris l'initiative de parole.

"He... On va où, en faite ?"

"Ch'ais pas. Loin de l'autre folle dégénérée."

"Ah OK ... " il commença à légèrement ralentir le pas, comme s'il avait finalement remarqué que nous étions deux à marcher vers nul part.

Je me renfourra dans mon écharpe d'un mouvement instinctifs du au froid et à la gêne, attendant ses prochains mots ou gestes.

Étonnement, ils ne tardèrent pas.

"Tu sais où on pourrait aller ?" j'avoue avoir été stupéfait sur le coup. Il était parti sur une complète prise de tête et déambulait dans le rue de cette fourmilière dans le seul but de ne rien faire, avec moi. Ayant probablement vu le regard choqué que je devais donner, il dut juger juste de se justifier "tsk, pour le projet..."

Ça aurait du être être évident...

"Euh... Je...oui, je crois avoir une idée."

"Un lieu tranquille, j'espère bien, parce que j'ai pas quitté l'autre timbrée pour me retrouver avec des geignards."

"N-non, c'est à l'écart..." il n'avait pas répondu à cette phrase qui n'était même pas une question, hormis un léger 'tsk' qui parvint à glisser hors de ses lèvres, mais bientôt c'était lui qui suivait mes pas à travers la ville sonorisée.

Lui à mes côté, le regard porté sur notre entourage sauf la route prise, nos pas traversaient ruelles comme avenues, alors que je sentais la nervosité grandir en mon fort intérieur.

Que faire si cet endroit ne lui plaisait pas ?
Que se passerait-il ?
Serait-il déçu, ou en colère ?

Mais pourquoi est-ce que je m'en souciais ?

Si ça lui plaisait pas, tant pis...
Il serait sûrement mécontent, et aucun projet ne sera fait ce jour ci ; mais pourquoi est-ce que son avis m'importait ?

Souhaitant grandement me détourner de ce questionnement sans logique, je m'étais concentré avec peine sur la restitution de notre position initiale, l'autre frénétique nous ayant guider dans une zone méconnue de ma mémoire.

Mais comme on dit, tous les chemins mènent à Rome.

Même si ce fut au bout d'une quarantaine de minute à marcher, le lieu de destination avait finalement été atteint sans grand problème.

Lui avait gardé son silence perturbant.
Moi, j'étais resté bloqué dans mon mutisme silencieux, seuls mes pas en fonction 'marche' par la direction de mon cerveau étant réellement actif.

M'enfin, on finit toujours par se réveiller un jour.
Pour moi, se fut lorsque je me suis bêtement prit un bord de trottoir.
Mais c'était efficace, parce qu'après avoir saisi le regard légèrement moqueur de Livaï, j'étais pas encore prêt à me laisser redistraire par des pensées ridicules.

Ça avait juste augmenté ma gêne en sa présence. Et c'était évidemment pas agréable du tout.
La scène semblait se répéter en boucle dans mon esprit, et avec, le regret de cet incident ridicule qui augmentait à chaque visionnage.

Voilà comment c'était devenu un silence gênant.
Heureusement, la destination fut rapidement atteinte après ça.
Mais restait toujours le sentiment d'embrassement extrême.

Il sembla s'apercevoir de l'arrivée proche de notre destination lorsque son regard se porta vraiment sur le chemin qui était à venir.

Du coin de l'oeil, je pouvais le voir inspecter au loin les nombreux bâtiments en contrebat, offrant une vue des plus fameuses sur l'horizon au delà de la ville.

C'était un coin surplombant la ville, à l'abri du bruit que pouvait provoquer ce quartier et initialement prévu pour les résidents de la maison de retraite à proximité.

Mais ca n'avait jamais gêné personne que des jeunes s'y ramène, même à l'âge de 7 ans.

C'était ici que je venais, par le passé, m'isoler lorsque les temps étaient trop durs pour le gosse maudit que j'étais.

La pelouse était présentement gelée, mais les souvenirs ne pouvaient s'empêcher de fleurir ce paysage utopique à chaque fois que je venais ici.

La végétation luxuriante qui avait été plantée dans une organisation naturelle m'avait grandement servit d'échappatoire à cette brute réalité qui m'entravait sur terre.

Bien sûr, en ce temps hivernal, il n'y avait rien.
Mais les souvenirs peignaient devant mes yeux les nombreuses heures que j'avais passé ici, en compagnie de mon premier ami.

Le premier compagnon que je m'étais fait ici bas.

Le premier à qui j'avais entièrement fait confiance.

Le premier qui m'avait fait voir le monde d'une autre couleur.

Le premier et dernier qui m'avait fait regretter de m'être confié.

À tel point que j'en avait oublié celui avec qui j'étais dans le présent.

Les images du passé disparurent brusquement lorsque je reçus des coups de coude, signalant l'impatience de celui avec lequel j'étais venu dans ce lieu symbolique à mon égard.

"C'est qu'on est arrivé ?" il était impatient, mais ce n'était pas l'impatience qui traversait son ton. C'était limite un encouragement. Je n'avais pas comprit pourquoi sur le coup

"Ouais..." ce seul mot était sorti d'une voix étonnamment rauque que je ne me connaissais pas.

Et puis j'ai compris la probable raison de l'attitude moins brusque de Livai.
De légères larmes glissaient le long de mes joues.
Des larmes de nostalgie, des larmes de souvenirs ayant marqué les bons anciens temps.

Et il avait été là pour assister à ça.

Tellement de situations gênantes en sa présence, je souhaiterais tellement en mourir ...

Cependant ...

Il n'en avait fait aucune remarque.

Il aurait pu en ricaner.

Il aurait pu s'en moquer.

Il aurait pu prendre avantage de mon côté affaibli.

Mais il n'avait rien fait.
Et je l'en remerciais intérieurement.

J'essuyai précipitamment ces larmes, gêné du spectacle que je devais offrir et de relever la tête avant qu'il ne réponde.

Une lueur attendrie passa dans son regard, mais fut tellement brève que je  me demandais si c'était le reflet de ce que j'aurais souhaité voir que j'avais entr'aperçue

Comme si je devais attendre quelque chose de lui ...

"Y a rien pour travailler ici..." il avait reprit, son ton légèrement plus ferme.

"Euh, oui, mais je crois qu'il y a de quoi se poser un peu plus loin !"

C'est comme ça que je hatai le pas, le forçant presque à me courir après pour me rattraper.

En faite, il n'y avait aucune table dans la zone.

Juste des banc à la peinture blanche écaillée.
Mais chacun de nous se contenta de cette assise.

Un silence apaisant se posa, mais j'aurais souhaité reprendre rapidement les affaires, car la mémoire ne tardera bientôt pas à me renvoyer à la nostalgie.

Lorsque je le questionna donc sur ce que nous pouvions commencer à travailler, il haussa des épaules me demandant comment moi je voyais le sujet se faire.

J'eus quelques secondes de surprise à sa question, mais pris bien quelques minutes pour mesurer mes mots pour une réponse possible sans me dévoiler.

Comment voyais-je la liberté selon l'Homme ?

C'était tout bonnement une très bonne question.

Parce que personne n'avait le même point de vue sur la question.

Parce que tous étaient différents.

Comment réunifier la perception de liberté par chacun sur un unique support ?
Support qu n'était même pas défini ?

Je ne savait pas si c'était cet endroit qui m'inspirer, mais j'avais répondu, confiant.
"Il nous faut une représentation globale de ce que chacun pense être la liberté. On ne peut pas fonctionner avec une seule perception de liberté, parce que certains on beau souhaiter les libertés que d'autres possèdent, ces derniers peuvent très bien être enfermés dans une cage dorée.On pourrait du coup utiliser une allégorie de la liberté, mais c'est la même chose... Chacun la perçoit différemment". Je sentais son regard glacé devenir pesant, et me procurer de nombreux frissons, alors que je cherchais de quoi développer l'idée, un noeud au ventre "Après, je ne sais pas quel est ta perception à toi du moi 'liberté'. Mais c'est pas non plus comme si tu le laissais apparaître..." Je savais que j'en disais trop, mais tant pis. Le regret me rejoindra juste ce soir dans mon lit. "Du coup, pour en revenir au projet, je ne sais pas non plus vraiment ce sur quoi on pourrait travailler. Un lieu où aucune entrave a la liberté n'est présente. Un symbole qui allégerait notre être à sa vue. Même une phrase, qui pourrait chambouler tout notre manière de penser. Mais il faut pas que ça fasse juste plaisir au yeux. La liberté, c'est un sentiment entier. Si on devait la reproduire, c'est ce sentiment qui devrait se faire provoquer."

Je n'osais plus le regarder de face.

Je savais que je devrais assumer le fait d'en avoir trop dit, mais même sans le voir, je pouvait sentir son aura sidérée faire face à mon corps crispé.

Le soleil commençait à se coucher et je ne savais pas si j'avais tué Livai d'un arrêt cardiaque où s'il réfléchissait juste à ce que j'avais exposé.

Bien sûr, tout le temps que dura l'attente, l'amertume me piquait la gorge, la déglutition se faisant avec difficulté.

Jusqu'à ce que l'impensable se fit entendre.
Ça n'avait été qu'un petit son bref, mais c'était ce à quoi on pouvait le plus le rapprocher.

Au coeur de ce paysage aussi gelé que l'avait été son regard, il riait, légèrement, et aucun sentiment négatif ne construisait ce son à assonance cristalline.

C'était ce qui m'avait fait tourné la tête, bien plus choqué qu'autre chose.
Ça n'avait pas duré longtemps, mais si le rire, avait disparu, ses lèvres, elles, en avait gardées la trace, légèrement remontée.

J'aurais voulu lui demander ce qu'il y avait de drôle.

Malheureusement, mes cordes vocales refusèrent de couper l'écho qui résonnait encore dans ma tête.

Ce fus lui qui reprit, à peine gêné par ce son inhumain.

"C'est des conceptions intéressantes que tu nous tiens là ..." il se retourner complétement vers moi, son regard de glace comme réchaufé par le rire qu'il avait sorti " Je ne te savait pas si réfléchit, Eren."

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/!\ note d'auteur la plus longue de la fic pour le chapitre le plus long de la fic  (parce que c'est du coup aussi celle du chapitre d'avant, j'suis une tug):

J'ESPERE avoir fait des heureux ...

Breeef, va falloir m'expliquer ... POURQUOI EREN EST-IL ASSIMILÉ À UN PIGEON ? 😭

Par contre ... j'ai jamais été aussi heureuse de voir tous vos com' ;-;

Et j'espère que vous appréciez encore plus ce chapitre que le précédent, parce que perso, je le préfère grandement x)

On dit souvent que le rire est une réaction nerveuse du corps, lorsqu'on ne sait pas quoi faire :')

Du coup (pardon, je suis chiante~) le chapitre 18 devient le chapitre 19 x)

Mais chaque chapitre, chaque décor, chaque personnage, chaque action a son importance.

Mais je me suis battue pour le sortir à l'heure, celui là ;-;

Mais dites moi, vous êtes plein de bonnes intuitions x) plein de trop bonnes intuitions ;-; heureusement que j'ai encore des secrets 😂

J'adore voir vos théorie :') même s'il n'y a pas trop grand chose à trouver ...
Juste une histoire à développer.

AUSSI, j'ai eu l'occasion de relire certains chapitre, et ô infamie, y a des tonnes de fautes orthographiques >< Je m'en excuse complétement, je tenterais de les corriger dès que possible !

Sinon .... Merci encore pour tout les messages de soutiens, les votes, les commentaires qui savent apporter un sourire à mes lèvres, des vus qui n'ont jusque là jamais été atteints, mais surtout merci de votre présence ici, pour votre lecture de ce livre.

Un SPOIL ?

Je sais pas...🤔

Vous m'en voudrez de vous faire languir ?😗
Probablement...😂

Ou pas 😅


Bon, je vous dis ?😃

Je pense que oui 😐

Ou pas 🤗

..... 😶

HANJI !! 😎

PS: je vous aime aussi 🤗

Merci, √HL

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