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𝟎𝟐:𝟒𝟏 - A Rocket To The Moon, 𝐿𝑖𝑘𝑒 𝑊𝑒 𝑈𝑠𝑒𝑑 𝑇𝑜

[08/10/2022]

Bonjour bonjour !

J'ai dû attendre la fin de la nouvelle chanson d'All Time Low ("Sleepwalking") avant de pouvoir commencer à écrire cette intro ; impossible de me concentrer tellement j'aime trop, j'arrivais pas à formuler mes phrases dans ma tête XD

Bref, je me suis retenue de la relancer pour pouvoir vous poster ce chapitre mdr

D'ailleurs, de base, c'était le 42 qui aurait dû arriver aujourd'hui (enfin, hier vu mon ancien planning), étant donné que j'avais, je ne sais pas comment, oublié de mettre le 33 dans mon agenda en ligne. J'étais trop contente du chapitre qui était censé arriver pour mon anniversaire parce que j'adore la chanson que j'ai mis en titre pour le 42. Bref, je vous en parlerai plus mercredi prochain, mais au final, je suis contente que ce soit le 41 qui pope aujourd'hui, parce que, même si je ne me souviens pas du jour où je l'ai écrit, je suis sûre que je me suis éclatée à le faire héhéhé

Je n'en dirai pas plus, je vous laisse le découvrir par vous-mêmes 👀

J'espère qu'il vous plaira.

Bonne Léocture ! ♥




~~+~~




« Dis, tu préfères quoi ? »

Je levai les yeux au ciel une fois de plus, laissai tomber ma tête en arrière, et sous le coup de poing que je reçus dans mon biceps, je ramenai mon visage face à Jimin qui tendait deux pantalons devant lui.

« Je m'en tape, Jimin, c'est pas moi qui vais porter ça.

J'essaie de me retenir de prendre les deux...

Rien qu'à regarder les prix, je me retiendrais de prendre quoi que ce soit dans cette boutique, grognai-je en glissant mes mains dans les poches de mon pantalon.

Mais je ne te parle pas de prix !

Je sais, monsieur est riche.

Hayden, s'il te plaît !

Putain. »

Je lui refis face, attrapai les cintres et observai les deux vêtements.

« Je suis bien content d'être célibataire si les mecs qui doivent accompagner leur copine faire du shopping subissent ça à chaque fois.

Célibataire ? me demanda Jimin.

Ouais. Je comprendrai jamais ce délire de faire les magasins.

Mais tu n'es pas célibataire aujourd'hui, me répondit Jimin en posant ses mains sur les cintres pour les faire descendre et croiser mon regard. C'est moi ta copine aujourd'hui, alors tu m'aides.

Il manquerait plus que ça. »

Il souffla en faisant la moue, et je reposai mes yeux sur les deux pantalons.

« J'imagine que le noir ça passe partout ?

Oui. Mais j'en ai déjà des centaines.

Alors prends le bordeaux.

Mais c'est voyant.

Tu me casses les couilles, Park Jimin.

Mais tu n'es pas du tout coopératif aussi !

T'as qu'à prendre les deux et c'est réglé.

Tu as raison. Tiens. »

J'eus à peine le temps de rouler des yeux qu'il me plaqua les deux vêtements contre la poitrine et partit à la recherche d'autre chose. Bordel, j'allais le tuer.

Ça faisait plus d'une heure qu'on traînait dans les magasins de vêtements et ça allait me rendre dingue. On avait mangé dans une pizzeria de mon quartier où on avait été tranquilles, puis on était partis pour le centre de Los Angeles. On s'était un peu baladés, et maintenant, je vivais un enfer. Je savais que j'aurais dû me méfier quand il avait parlé de shopping.

Je lui emboîtai malgré tout le pas et le suivis entre les allées de chemises et de pulls aux prix tous plus exorbitants les uns que les autres. Je le vis regarder de nombreuses choses, et en empiler certaines sur son bras avant d'en remettre d'autres en place.

« Et ça ? Plutôt noir ou blanc ? J'aime beaucoup la coupe.

Pourquoi tu me demandes au lieu de tout simplement aller essayer en cabine ?

Tu imagines si tout le monde essayait cinquante vêtements en cabine ? me demanda-t-il en retroussant son nez.

C'est fait pour. Et puis ça se lave après achat, des vêtements.

Oui mais pour le moment, ça n'a pas été lavé. Mais tu as raison, je vais essayer. »

Il prit donc les deux et continua son chemin. Je le suivis en soupirant, toute la mauvaise foi du monde se ressentant dans le rythme de mes pas, et il continua de remplir ses bras avant de s'arrêter devant un mannequin. En voyant qu'il ne reprenait pas son chemin, je relevai les yeux pour observer ce qui avait pu piquer son attention à ce point. Il leva alors sa main droite vers le tissu noir et le caressa doucement.

« J'aime beaucoup.

C'est pas un peu transparent ? constatai-je en haussant un sourcil.

Justement, répondit-il en venant plonger ses yeux dans les miens, un sourire malicieux aux lèvres. C'est encore mieux quand on voit à travers.

Ah ? Autant ne rien porter, j'ai envie de dire. »

Il fit soudain la moue et reprit sa route.

« Quoi ? soupirai-je en lui emboîtant le pas.

Tu es foutrement rigide aujourd'hui.

De quoi tu me parles ?

Ça fait au moins dix fois que je te fais du rentre-dedans pour te déstabiliser mais tu ne captes rien. »

J'ouvris la bouche mais aucun mot n'en sortit sur le moment. Il était encore là-dessus ?

« Passe à autre chose, je t'ai dit que c'était peine perdue.

Il n'empêche que j'ai réussi à te faire vriller plusieurs fois. Je ne perds pas espoir.

Si ça t'amuse.

Ça m'amuse.

Mais il me semble que ça t'amusait moins la dernière fois, quand j'ai marqué mon dernier point.

Je ne vois pas de quoi tu parles.

Ah ? Moi si, très bien. Il faisait sombre donc j'ai pas vu ton visage, mais vu comme tu t'es tendu de tout ton corps quand j'ai-

Ferme-la, me coupa-t-il, c'était déloyal.

Bah voyons, ricanai-je.

Viens, je vais essayer tout ça. »

Il accéléra et je le suivis jusqu'à ce qu'il disparaisse derrière une immense cabine à l'éclairage puissant. J'expirai bruyamment et commençai à faire les cent pas jusqu'à ce que j'entende sa voix m'appeler.

« Oui ? fis-je en me rapprochant de l'ouverture.

Tu en penses quoi ? »

La porte s'ouvrit plus largement.

« Mmh... Ça te va bien.

Mais encore ?

Tu veux que je te dise quoi d'autre ?

Laisse tomber. »

Il roula des yeux et me ferma la porte au nez. Je fis donc de même et reculai. Quel caractère de merde.

Quelques minutes plus tard, la porte se rouvrit et il m'appela de nouveau.

« Et là ?

Même réponse.

Mais fais un effort !

Que veux-tu que je te dise, honnêtement ? Essaie des pantalons et je te dirai si ça te moule bien le cul, mais là, je vois difficilement... »

La porte claqua et je levai les yeux au ciel.

« ... ce que je peux dire d'autre », finis-je tout de même.

Bon, j'y mettais peut-être de la mauvaise foi, c'était vrai. Mais je mourrais de chaud à cause du chauffage alors que pourtant, les températures extérieures étaient plus que correctes ; j'avais donc soif ; faire les boutiques me gonflait ; et la logique de Jimin me dépassait. Ça faisait beaucoup.

Je recommençai à faire les cent pas, et quand je réalisai qu'il ne m'avait pas interpellé depuis cinq bonnes minutes, je tapai à sa porte.

« Quoi ? grogna-t-il fortement depuis l'intérieur.

Ça va ?

Pourquoi ça n'irait pas ?

Tu ne m'as pas demandé mon avis depuis un moment.

Ta neutralité m'est inutile.

Tu sais bien que je suis la dernière personne qu'il faut emmener pour faire du shopping, surtout pour des fringues. On aurait dû faire ça demain et emmener Sooyeon, elle aurait été aux anges, et elle aurait été capable de te donner un avis objectif.

Bonne idée. Je reviens ici demain mais juste avec elle ; tu resteras à la maison.

Boude pas, Jimin, souris-je doucement en me laissant tomber contre le mur, le visage près de l'ouverture. Moi je ne porte que des t-shirts ou des débardeurs de groupes de musique taille L et des pantalons noirs ou des jeans slims.

Ou des shorts kaki affreux ou des joggings.

Quand je traîne chez moi et qu'il n'y a personne pour me voir, et que je veux être habillé confortablement. Je suis incapable de te donner un avis sur des fringues de luxe comme ça.

Je ne te demande pas une dissertation intro-développement-conclusion avec des arguments, juste ton avis.

Évidemment que ça te va. Tout te va. Mais me demander de choisir entre telle et telle couleur, qu'est-ce que j'en sais ? Je suis un mec, du moment que c'est pas rose ou couleur vomi, ça me va. Du moment que c'est confortable, pas trop serré, ça me va. Mais on n'a pas les mêmes critères de mode ni les mêmes habitudes vestimentaires, comment tu veux que je puisse te donner un avis sur ce que tu dois acheter ou non ? »

La porte s'ouvrit alors et je me décollai du mur pour le regarder passer la tête dans l'entrebâillement.

« Mais me dire si ça me va bien, tu peux le faire, non ?

Tu sais bien que ça te va, pourquoi tu veux mon avis sur ça ?

Parce que.

Très bien, soupirai-je en levant les yeux au ciel. Il te reste quoi à choisir ?

J'hésite toujours entre ces deux pulls.

Mmh. Ça te va bien.

Merci, lâcha-t-il sans le penser tout en roulant des yeux une fois de plus. J'allais essayer le blanc.

Alors mets le blanc et je te dis lequel je préfère.

Ça marche. »

Il referma la porte et je vins pincer le haut de mon nez. Vivement qu'on sorte de là.

Le battant s'effaça trente secondes plus tard et je rouvris les yeux pour le regarder.

« Alors ? »

J'inspirai profondément et le regardai de haut en bas avant de hocher la tête.

« Ça-

Et ne me réponds pas que ça me va bien, me coupa-t-il. S'il te plaît. »

Je levai les yeux au ciel avant de replonger mes pupilles dans les siennes.

« Si le noir te va bien, alors il est évident que le blanc te va bien aussi.

Ok, laisse tomber, soupira-t-il en se retournant.

Mais le blanc te va mieux. »

Il arrêta sa main qui repoussait la porte et la rouvrit légèrement.

« Ah oui ?

Oui. Ça tranche mieux avec la couleur de ta peau. Mais en toute honnêteté, tu avais vraiment besoin de mon avis pour le savoir, ça ?

Mais le noir aminci.

Parce que tu vas me dire que tu es gros ? Va faire un tour chez l'ophtalmo, Jimin. »

Il m'envoya un petit sourire, puis hocha la tête.

« Ok. Alors je prends le blanc. Je remets mes vêtements et j'arrive.

Ça marche. Tu veux pas essayer les pantalons pendant que t'es là ?

Non, pas besoin.

T'es sûr ? Les tailles ne sont pas forcément les mêmes qu'en Corée.

Je les filerai à mes potes si je ne rentre pas dedans.

Mais pourquoi tu n'essaies pas tout simplement ? Ça t'éviterait de les acheter pour rien !

Parce que c'est comme ça. Je me rhabille et j'arrive.

Très bien. Je bouge pas. »

Il referma la porte et j'expirai longuement. Il avait vraiment une logique bien à lui qui me dépassait totalement. Je priai alors pour qu'on passe en caisse, qu'il règle ses deux smic de fringues et qu'on s'en aille d'ici. Je ne pouvais plus voir un seul vêtement avec étiquette de prix de la journée.

Une bonne minute plus tard, la porte se rouvrit et il me tendit plusieurs vêtements que je pris avec toute la mauvaise volonté du monde avant qu'il ne parte je ne sais où avec ce qu'il n'allait visiblement pas garder. Sans l'attendre, je m'en allai vers le fond du magasin et saluai la jeune femme qui se trouvait derrière le comptoir afin de lui refiler tout ce que Jimin m'avait posé dans les bras.

Elle commença à prendre les vêtements un par un, les scanna, retira les anti-vols... et continua tout en me jetant des coups d'œil et des sourires de plus en plus insistants. Bon, je ne savais pas si j'avais été reconnu ou si je lui plaisais juste, mais c'était problématique. Lorsqu'elle arriva au dernier pull, qu'elle le déposa dans le sac de papier, et que je vis que Jimin n'était toujours pas là, je sentis du stress monter en moi.

« Ça fera 4030 dollars s'il vous plaît.

Pardon !? m'étouffai-je en reposant mes yeux sur elle.

4030 dollars, répéta-t-elle.

Je vois. C'est mon ami qui va payer, c'est à lui en fait, moi je l'accompagne juste.

Votre ami ?

Oui, il est allé reposer des choses en rayon je crois, dis-je en tentant de l'apercevoir. Ah bah le voilà. Hey !

J'arrive ! »

Jimin accéléra alors le pas, son masque remis sur son visage et un vêtement noir entre les mains. Je le regardai avec de gros yeux le tendre à la femme qui le prit en le remerciant, et je lui donnai un coup de coude.

« T'es malade ? demandai-je entre mes dents.

Mmh ? Pourquoi donc ?

T'as vu le prix ? Et tu rajoutes un truc ?

Ah ? Ça va, pour trois pantalons et deux pulls.

Tu te fous de moi ?

Donc avec la chemise en plus, ça fera 4820 dollars, déclara la jeune femme.

Dis-lui que je paye tout de suite.

Fais-le toi-même.

Je ne parle pas anglais.

Alors démerde-toi.

Quelle tête de con, j'vous jure. »

Je croisai mes bras sur ma poitrine en roulant des yeux et la vendeuse continua de nous observer l'un après l'autre en attendant que l'un de nous daigne sortir des billets ou sa carte bancaire. Au final, Jimin tendit sa carte et lorsque je le vis taper son code, je sentis mon âme s'envoler.

Ma mère ne gagnait même pas cette somme en travaillant pendant quatre mois ; il me fallait plus de deux mois pour espérer gagner cette somme grâce à mes vidéos ; et ce mec pouvait se permettre de dépenser tout ça en appuyant juste sur un bouton vert et pour six vêtements ? Ça me passait au-dessus.

Je repris mes esprits quand il me poussa pour récupérer les sacs avec ses achats et je saluai la jeune femme rapidement avant de tourner les talons.

Il était plein aux as, je le savais, mais je ne comprenais pas comment on pouvait dépenser cette somme dans ce genre de chose. Avec 5000 dollars, j'aurais voyagé pendant quatre mois ; je me serais acheté une moto ; j'aurais terminé ma manchette ; je me serais acheté un set-up flambant neuf ; j'aurais pu refaire l'isolation de ma chambre pour que mon frère n'ait plus aucun moyen de me casser les couilles... Si lui pouvait dépenser 5000 dollars aussi facilement, alors j'imaginais qu'il pouvait presque dépenser cette somme tous les jours et pendant une semaine sans problème. Avec 150.000 dollars en un mois, en un an, je pourrais me payer un appartement en plein centre de Los Angeles.

« Oh, je te parle ! »

Je repris mes esprits une fois encore en sentant le poing de Jimin s'enfoncer dans mon bras.

« Quoi ?

Je te demandais ce que tu voulais faire maintenant. Mais tu es sûr que tu vas bien ? Tu as une drôle de tête.

C'est tout ton fric qui me fout mal.

Quoi ? Comment ça ?

Tu te rends compte que ce que tu viens de dépenser, je mets plus de deux mois à le gagner ? »

Son visage changea d'expression et il s'arrêta. J'arrêtai alors aussi de marcher et je me retournai pour lui faire face.

« Je ne comprends même pas qu'on puisse concevoir de mettre plus de 30 dollars dans une chemise. Mais tout ça parce qu'il y a le nom et le bête logo d'un, apparemment, grand couturier, alors le prix est multiplié par dix ? Par trente ? Alors que clairement, tu retires ça et c'est une chemise comme une autre ?

Je...

Je sais, pour toi c'est normal de dépenser ça. Je ne veux même pas savoir combien tu as sur ton compte en banque, ça me rendrait malade. Mais, après, je parle de moi, mais je ne suis pas à plaindre. Je fais un boulot qui me plaît et qui me permet de gagner ma vie correctement, mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Mon meilleur ami doit cumuler deux jobs pour joindre les deux bouts parce que sa passion ne le paye pas assez, et Steven s'en sort bien depuis quelques mois, mais avant ça il galérait. Et ça, ce n'est que mon entourage proche. Bref, j'ai un peu dévié, mais cette industrie du luxe me révolte. »

Je finis par reposer mes yeux sur lui, et quand je vis la tête qu'il tirait, je fus aussitôt pris d'un malaise.

« Excuse-moi. Je ne voulais pas t'accuser de quoi que ce soit, je... C'est juste que je ne comprends pas...

Tu as raison. Je vais les rapporter.

Quoi ? Non ! Non, je n'ai pas dit ça, Jimin. Si ça te fait plaisir et te fait te sentir bien, alors fais-le, ça ne me regarde pas. Mais ça me rend dingue. Et puis je parle de toi qui achète des trucs à ces prix-là, mais c'est surtout les marques qui se foutent de la gueule du monde. Si encore leurs prix étaient synonymes de qualité, je dis pas, mais je suis sûr que c'est la même chose que ce que tu trouves à beaucoup moins cher en grande surface. »

Il mordit sa lèvre et garda la tête basse. Je n'aurais pas dû dire ça.

« Excuse-moi, honey.

Je te demande pardon !? »

Je souris et expirai bruyamment par le nez avant de tendre ma main vers lui.

« Donne tes sacs, je vais les tenir. Un café ? Un thé ? Un bubble tea ? Tu veux boire un truc ?

Euh... peu importe. Je m'en fous. Et je peux tenir mes sacs.

T'as dit que tu étais ma copine aujourd'hui, alors c'est à moi de tenir tes sacs. Donne. »

Il déglutit difficilement, posa ses yeux sur ses achats, puis me les tendit.

« Allez, viens, je t'emmène boire un verre.

Hayden...

J'insiste. Pour me faire pardonner. J'ai agi comme un gros con, je suis désolé.

Non, tu as raison dans le fond, je pensais comme toi avant...

J'imagine que tout le monde pense comme ça au départ. Allez. Viens. »

Il sembla hésiter alors je me rapprochai de lui, glissai doucement ma main le long de son bras, puis je pris sa main dans la mienne. Je le sentis se crisper et il me rejeta immédiatement.

« Mais qu'est-ce que tu fous !?

J'ai pas le droit de tenir la main de ma copine ?

Non.

Dommage. Et dommage que tu aies remis ton masque ; je suis certain que tu es couleur pivoine, dessous.

Dans tes rêves.

Retire-le pour voir ?

Jamais. Je veux un bubble tea grand format avec du sucre et double dose de perles. »

Je pouffai alors et tournai les talons. Je devrais pouvoir rattraper ce fiasco.

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