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Chapitre 18


Taehyung était de retour au laboratoire Hang. Un vieux couple l'avait retrouvé inconscient dans un champs, non loin de leur ferme familiale à Daegu. Quant à Namjoon, avant de rentrer d'une de ses missions, était à Pohang, une ville non loin de celle-ci. Soit, on pouvait émettre l'hypothèse qu'il était en route pour le rejoindre. Rejoindre le seul être qui ne lui aurait jamais fait de mal, mais s'est évanoui. Mais maintenant, le mois de liberté était terminé.

- Reste là Nam !! Ordonna Jin en lui saisissant fortement un bras. C'est beaucoup trop dangereux !!

- Je ne vais pas rester là sans rien faire !!!

- KIM NAMJOON !

Il s'arrêta net dans son élan, les larmes coulantes sur ses joues rosies, son corps tremblant de stresse comme une feuille. Sa main resta scotchée à la poignée de l'entrée, son autre tenant un sac de sport.

- Si tu franchis cette porte, je ne veux plus jamais te voir mettre un pied ici, menaça le même, froid comme le pire des hivers.

Le silence parmi les regards choqués des trois autres. Les tics-tacs de l'horloge au mur faisaient écho dans les oreilles du blond. Comme si le temps s'écoulait au fur et à mesure qu'il attendait, comme si les pas en direction du drame étaient comptés, comme une marche vers la mort. Mais il le fallait. Il fallait qu'il aille l'aider, le sauver. C'était normal, logique, naturel. Une part de sa vie s'était envolée en quelques secondes, et il devait la récupérer.

Alors ses doigts serrèrent le bout de métal et le baissèrent. Puis tel un fantôme noir, il sortit de la maison, ayant pris sa décision. Il était partit, et le bruit du moteur en était la preuve qu'il n'avait pas fait demi-tour. Aucun plan. Juste une arme, une casquette et un masque.










Dans la banlieue de Séoul, il y avait une zone. Un peu comme la zone 51, mais beaucoup moins sécurisée. Une zone où chaque personne ne pensait qu'à leur pomme, ignorant les supplices, les pleurs, les hurlements de chaque êtres vivants. Des cochons, des oiseaux, des chèvres, des serpents. Tout, il y avait tout. Plusieurs sections, plusieurs bâtiments où ils étaient emprisonné depuis longtemps. Peut-être certains des années. Mais les plus faibles partaient en plus de temps. À une cinquantaine de mètres de ce laboratoire, il y avait un autre bâtiment, qui lui était la section une. Soit, celle où il était, et où il avait passé sa vie à l'intérieur.

Un lit de pierre soutenait son corps meurtri seulement vêtu d'un caleçon, laissant le froid le ronger peu à peu. Ses jambes étaient recouvertes de sang — on se demande pourquoi — séché. Ses pieds blessés comme s'il avait marché sur ses pics de fer. Et ses bras attachés fermement sous le lit en hauteur ; tellement attaché que ses épaules en étaient tirée en arrière, déchirant littéralement ses muscles. D'énormes élastiques le fixaient au matelas dur, serrés au point d'entrer dans sa peau.

Deux hommes en blouses et lunettes de protection entrèrent dans cette pièce étroite où était affiché des schémas, des photos plus ou moins ancienne. Des étagères d'outils de tout genre longeaient les murs suivi de multiples radios. Laissant voir son squelette complètement brisé.

- Toujours pas réveillé, s'énerva l'un en enfilant des gants bleus.

Sans ce concerter, l'autre plaça des électrodes sur son torse. Et de suite, un courant d'environ trente milles volts, parcouru les moindre recoins de son corps. Le jeune hurla à plein poumons à s'en arracher les cordes vocales tellement la douleur était omniprésente, horrible. C'était se faire poignarder par des millards de couteaux. Poignardaient son être, son âme. Une minute durant une heure interminable avec le corps tremblant violemment, pire qu'une feuille ainsi que de légers éclairs d'électricité qui en ressortaient. La souffrance terminée, la fumée envahi la salle et l'odeur de cochon trop grillé puait à plein nez. L'un des scientifiques dû aller activer la bouche d'aération, laissant l'air frais entrer.

Ses membres tremblaient encore pendant qu'il essayait de tout oublié. Oublié la douleur, l'horreur qui l'avait repris. Il fermait tellement fort ses yeux que des taches de couleurs apparaissaient et des larmes commençaient à couler. Puis à être vomies par ses pauvres yeux fatigués.

Il ne voulait y croire. Il savait où il était. Pourquoi fallait-il que ce soit lui qui prenne toujours tout ? Qu'est ce qu'il a fait pour mériter ça ?

Où était Namjoon ? Est-ce que c'était lui qui l'avait ramené ici ? Si tout avait été prévu depuis le début ? Trop de questions tournait dans sa tête. Tant, qu'il fini par replongé dans l'inconscient.




La douleur a été trop forte, une fois de plus.

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