Les dieux
Ces êtres si vaniteux
Se prétendant roi du monde
Les dieux si hypocrites
Un jour finira leur règne

La Grèce était endormis, l'obscurité de la nuit plongeait tous ses monuments blancs dans une pénombre horriblement sombre. Il fessait chaud au milieu de l'été comme cela, un silence plongeait la ville dans l'éternel vide. Au milieu d'un sentier sinueux ou beaucoup de roues avait piétinées la terre qui était encore mouillé de la pluie qu'il y avait eu lors de l'après-midi, une personne apparu.

C'était une femme, une petite femme pas très grande qui semblait menue. Elle était enrobée d'une cape pourpre se fondant dans la noirceur de la nuit. Elle avait un teint comme la lune, brillant au reflet de celle-ci bien haute levée dans le ciel. Elle avait des yeux bleus reflétant une sagesse et une âme mûre malgré ses traits de jeune adulte. Elle avança sur le sentier. Finalement elle arriva au bout de celui-ci s'adonnant sur le dernière maison de cette rue. Ce n'était qu'un vulgaire cube blanc la dépassant de quelques mètres avec deux trous servant de fenêtres. Elle la voyait, la flamme sur une bougie dansé au delà, elle savait donc qu'il était réveillé. Elle cogna à la porte de bois puis l'entendit se lever. La porte s'ouvrit.

Un homme dans la fin quarantaine se tenait devant elle. Plus grand, la dépassant d'une tête au moins, vêtu d'une tunique blanche lui arrivant aux genoux pied nu. Il était frêle, il avait beau être grand il était chétif. Ses cheveux étaient noirs parsemé de mèches grises se frottant à ses épaules, il avait une barbe de la même couleur que ses cheveux bien garnis. Il avait des rides, marque de sagesse et des cernes très prononcé en dessous de ses yeux qui était d'un bleu remplis de l'éternel sagesse. Son visage se figea de toutes expressions, il semblait déconcerté par la visite de cette femme:

- Maman articula t'il.

- Mon fils dit la femme.

La voix de la femme ne saurait démontrée son âge, elle était grave et douce à la fois inspirant confiance et respirant la sagesse, chaque mots pesés comme si il était la source d'une sagesse.

- Entrez s'empressa t'il de dire en se poussant de la porte.

La femme entra dans la maison, la première pièce était la plus grande, de pierre entièrement, quelques meubles d'architectures mais la plupart de la pièce était recouvert de plan dessiné et de papier parchemin. Des tas et des tas de dessins et d'algorithmes mathématiques complexes.

- Pourquoi autant de documents? Demanda la femme en s'installant sur la seule chaise disponible.

- Je travaille sur un grand projet mère, annonça l'homme. Sur un Labyrinthe, un Labyrinthe tellement complexe que personne ne saura s'en sortir.

- Dédale, mon garçon tu es formidable.

Dédale regarda la femme:

- Mère que faites vous ici? Rare sont les fois que vous venez me rendre visite et je sais que ce n'est pas une visite de courtoisie, les déesses ne font jamais de visite de courtoisie.

- Vrais dit la femme, écoute Dédale quelque chose se prépare dans le ciel autant que sur la terre. Les Dieux se barreront je le sens mais quelque chose arrivera.

Les yeux sages de Dédale virèrent au sombre.

- Quoi? Qu'est ce qui arrivera? Demanda l'homme inquiets

- Je ne sais pas, ma sagesse me dit qu'une force s'élève au delà de
L'Olympe. Nous entrerons en guerre.

- Et pourquoi venez vous me dire cela mère.

- Car vous demi-dieux et humains vous serez touché par cela cette guerre se tiendra dans le ciel et sur terre.

- Merci mère je veillerais à ce que la guerre ne nous affecte pas trop.

La femme se leva, la cape cascadant au sol tel une traine.

- Merci Dédale

La femme esquissa un sourire, un sourire plein de sagesse et de bonté

Puis Athéna disparue laissant Dédale seul dans sa maison.

                              •••~•••

Athéna réapparu, l'endroit dans lequel elle avait apparue, était magnifique. Elle se trouvait en plein milieu du Parténon d'Athènes. Il fessait sombre, aucune lumière. Soudainement sur une statuette de pierre une flamme s'alluma en dansant peu a peu. Athéna s'approcha de la nouvelle flamme et esquissa un sourire, une chaleur rassurante.

- Hestia dit Athéana.

Une petite fille apparue. Elle était petite, elle devait avoir 8 ans tout au plus. Elle avait un teint comm celui d'Athéna, blanc comme la lune, elle avait les yeux bleu rassurant et un visage tous mignon. Elle avait des cheveux bruns cascadant dans son dos parfaitement. Elle portait une robe bleu poudre son habit était simple.

- Athéna mon amie dit la jeune fille en souriant. Tu es allé voir Dédale?

- Oui dit Athéna, et toi que fais tu en Grèce?

- Je suis près des humains dit Hestia, chaque soir je vais les voir et je vais allumer un feu dans leur foyer et je bais les bénir je suis Hestia la déesse du feu et du foyer. Et ils ont besoin d'être bénis, je fais attention aux hommes ou du moins j'essaie mais je ne crois pas que la guerre qui viens fera attention aux mortels.

Athéna regarda Hestia don ses yeux étaient perdus dans les flammes.

- Quelqu'un sera tué se soir dit Hestia. Une mort que nous pourrions empêché une mort qui voudra dire la fin.

- Tu es allez voir l'Oracle aujourd'hui? Demanda soudainement Athéna.

- Oui, je n'eu pas le choix Des forces s'élèvent dans le noir dans le sombre des Tartares L'Oracle saura nous dicter l'avenir.

Le feu dansant s'éteignit par le coup de vent froid qui traversa Athènes.

- Nous allons tous mourir, tous se battre les uns contre les autres. Dit Hestia. C'est ce que qu'elle à dit.

Quand alors une boule électrique apparue entre les deux déesse. Elle tournait sur elle même à plusieurs centimètres du sol produisant une lumière si forte qu'elle illuminait l'entièreté du Parténon. Une voix caverneuse résonna:

- Hestia, Athéna rentrez à L'Olympe nous allons faire un conseil.

Hestia et Athéna se regardèrent surprises. Un conseil avant un soliste?

- Oui Zeus dit Athéna. Nous arrivons.

La boule disparue et le Parténon retomba dans les ténèbres et les deux déesses disparurent eux aussi.

La noirceur envahira les rues
L'obscurité triomphera
Personne ne pourra gagné
Si ils sont tous si divisés

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C'est mon premier chapitre et j'en suis pas mal fier a vous de voir

Hera Stark