Chapitre 12
Buck se changeait quand la porte des vestiaires s'ouvrit. Il n'eut pas le temps de se tourner qu'il sentit un baiser sur sa nuque.
- Désolé, c'était trop tentant, surtout qu'elle regarde. Dit Eddie.
Il sourit et se tourna pour l'embrassa tendrement. Il avait vu la journaliste regarder.
- Je ne te pensais pas provocateur. Dit-il au brun en passant ses bras autour de sa nuque.
- Elle m'énerve à ne pas comprendre qu'on est ensemble. Répondit son homme en l'enlaçant par la taille.
- Mais c'est grâce à elle que tu as fait un pas vers moi.
- Je l'aurais quand même fait. Tu me plais depuis le début, et je n'en pouvais plus de ne rien tenter.
Il sourit puis l'embrassa langoureusement, presque sensuellement. Il sentit la prise d'Eddie devenir plus forte autour de ses hanches.
- Toi aussi, tu es provocateur.
- Je le suis, ou plutôt, je l'étais avant la naissance de Joy. Mais je peux le redevenir pour toi.
- Juste pour moi. J'aime ça.
Après un autre baiser, il finit de se changer en même temps que le brun.
Ils sortirent des vestiaires en souriant.
- Je croyais que vous ne vous montriez pas ici ? Demanda la journaliste.
- Étant donné que nous ne cachons plus notre relation par rapport à vous, je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas embrasser mon petit ami dans les vestiaires ? Dit Eddie.
- Bonjour Evan. Eddie.
- Bonjour Bobby.
- Cela ne vous rend pas jaloux Diaz la façon dont Buck regarde et sourit au capitaine Nash ?
- Je ne vois pas pourquoi je serais jaloux que mon compagnon sourit à son père.
Il vit la surprise ainsi que la colère de Taylor Kelly. Elle s'en alla voir d'autres pompiers.
- Elle commence vraiment à me gaver. Dit son petit ami.
- C'est le dernier jour, Eddie. Dit Bobby.
- Vraiment ?
- Oui. J'ai appelé le Chef et lui expliqué que la journaliste n'était pas professionnel et qu'elle s'intéressait plus à un de mes hommes qu'à la caserne. Je pense qu'elle ne finira même pas la journée.
- Merci Cap. Dit Eddie.
- De rien. Puis, elle m'énervait aussi.
Ils sourirent.
¤¤¤
Quand ils avaient dit à leur équipe qu'ils étaient ensemble avec Eddie, ils avaient vu Hen et Carole tendre les mains alors que Chimney, John et Terry leur donner des billets. Hen lui avait dit que c'était évident qu'ils allaient se mettre ensemble à un moment ou à un autre.
¤¤¤
Il était avec son petit ami et leurs enfants au parc. Le temps qu'il sorte la tisane froide de sa fille, Eddie la portait. Les deux se souriaient. Il sentit son cœur battre plus vite à cette vue.
- Tu veux lui donner ?
Il lui tendit le biberon.
- Ça ne te dérange pas ?
- Non.
Le sourire du brun devint plus grand. Il les prit en photo. Puis il regarda Christopher qui avait fini de donner le pain aux canards et qui revenait vers eux.
- Mon grand, tu peux aider ton papa à nettoyer les joues de Joy ? Car des fois sa tisane coule.
- Oui, Buck.
¤¤¤
Il venait de se changer, il alla dans le coin cuisine de la caserne.
- Bonjour fiston.
- Bonjour Bobby.
Ils s'étreignirent.
- Tu vas bien ?
- Oui. Je suis heureux que l'animal préféré des américains n'est pas le lapin. Je ne pense pas que j'aurai pu en voir un en vrai, surtout un blanc, sans vouloir le faire passer par la fenêtre. Dit-il en s'écroulant sur une des chaises hautes.
- Pourquoi tu en veux autant aux lapins blancs ?
- Regarde pendant plus de cinq heures un dessin animé dessus, après on verra si tu les aimes autant.
- Joy n'arrivait pas à dormir ?
- Non. Elle avait des coliques. Mais ça c'est calmé. De peur que ça reprenne, je ne me suis pas endormi de suite.
- D'où ton air fatigué.
- Pas fatigué, épuisé. Je venais d'arriver quand Maddie m'a laissé un message en me disant que Joy s'était réveillée le sourire aux lèvres.
- Tant mieux.
- Oui. Elle s'en occupe aujourd'hui, elle ne travaille pas.
- Puis ça doit te rassurer que ce soit ta sœur qui s'en occupe aujourd'hui.
- Oui, je l'avoue. Même si Cassandra est compétente, je préfère savoir Joy avec sa tante aujourd'hui.
Bobby lui tendit une tasse de café.
- Merci.
Il sentit un baiser sur sa nuque.
- Bonjour.
Il sourit à son petit ami.
- Bonjour toi.
Ils s'embrassèrent chastement avant que Bobby tende au brun une tasse de café.
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