NDA ; dans cet OS Afuro a le même âge que Kurosaki !

Kurosaki Makoto => Cronus Fourseason
Afuro Terumi => Byron Love

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" - 𝓙 '𝓪𝓲 𝓹𝓻𝓲𝓼 𝓾𝓷𝓮 𝓫𝓸𝓾𝓵𝓮 𝓿𝓪𝓷𝓲𝓵𝓵𝓮 𝓬𝓪𝓻 𝓳 '𝓪𝓲𝓶𝓮 𝓬̧𝓪, 𝓹𝓪𝓼 𝓹𝓪𝓻𝓬𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓬 '𝓮𝓼𝓽 𝓭𝓮 𝓵𝓪 𝓶𝓮̂𝓶𝓮 𝓬𝓸𝓾𝓵𝓮𝓾𝓻 𝓺𝓾𝓮 𝓽𝓮𝓼 𝓬𝓱𝓮𝓿𝓮𝓾𝔁 !

- 𝓜𝓪𝓲𝓼 𝓽𝓸𝓷 𝓹𝓪𝓻𝓯𝓾𝓶 𝓹𝓻𝓮́𝓯𝓮́𝓻𝓮́ 𝓬 '𝓮𝓼𝓽 𝓵𝓮 𝓬𝓱𝓸𝓬𝓸𝓵𝓪𝓽, 𝓚𝓾𝓻𝓸𝓼𝓪𝓴𝓲.

- ...
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Kurosaki marchait tranquillement à travers la ville. Son regard volant et s'arrêtant sur les différentes boutiques qui bordaient la route de droite à gauche. Les affiches flashies et et les noms de marques fluos attiraient tout naturellement l'attention.

Cependant il ne s'arrêta pas et continua lentement son chemin, il n'était pas venu ici pour flâner, enfin pas dans un premier temps. Il cherchait un moyen de se débarrasser d'Afuro Terumi. En effet, depuis quelques temps on ne cessait de le comparer à lui et de mettre en avant le grand nombre de points communs qu'ils possédaient entre eux. Cela commençait à déranger sérieusement Kurosaki qui en avait assez qu'on lui parle d'Afuro à tout bout de champs.

Ils ne possédaient pas tant de similitudes tout de même ?

D'accord, ils occupaient tout les deux le poste d'attaquant et étaient capitaine de leur équipe, mais il y avait une multitude d'autre joueurs dans le même cas !

Et puis il y avait leurs yeux. Ses pupilles rouges comme le sang identiques à celles du blond, il devait bien se l'avouer, mais ce n'était que le hasard !

Passons au parcours, c'était tout les deux de très bon joueurs, mais ce qui dérangeait le plus le brun était le fait qu'ils soient passés lui et l'autre par le côté "obscure" avant de changer définitivement de camp.

Et il y avait aussi leur forte ressemblance à une fille, si bien que l'on confondait régulièrement Kurosaki en une jeune demoiselle, ce qui avait tendance à le gêner ou l'agacer tout dépendait de son humeur du jour.

Cela ne faisait pas tant de ressemblances que ça... non, juste quelques unes, pas de quoi s'affoler.

Le brun soupira, parfaitement conscient que ces interrogations internes cachaient en réalité une découverte démentielle.

Si Kurosaki tentait tant que ça à mettre de l'espace entre lui et ce joueur blond, c'était parce qu'il ne pouvait pas s'empêcher d'être attiré par ce dernier.

Mais s'en était hors de question.

Makoto n'était pas le genre de personne qui se laissait gentiment traîné par le bout du nez par cette abomination nommé "destin".

Ce n'était pas le genre de personne qui se réjouit d'avoir été transpercé de la flèche de cupidon.

Ce n'était certainement pas le genre de personne qui avouait sans gêne ses sentiments les plus profonds à un type aux cheveux blonds qui venait de débarquer dans son cœur.

Kurosaki ne lui avait rien demandé à lui, alors pourquoi Afuro se tapait-il l'incruste dans sa tête ?

C'était tout bonnement insupportable, inconsevable, improbable, irréalisable.

Tout ce que vous voulez mais c'était impossible.

Kurosaki n'était pas idiot, il savait bien que cette amourette envers ce joueur était une mauvaise idée, combien de chances y avait-il que ce soit réciproque ?

Soyons optimiste, 0.1 pourcent, fallait pas rêver on était pas dans un conte de fées.

En revanche le risque que cet Afuro lui mette un râteau divin était lui, extrêmement probable, beaucoup trop en fait, et ça ne lui plaisait pas du tout.

— Quel imbécile... Soupira de nouveau le beau brun.

Lorsque l'on ne connaît pas Kurosaki, on peut penser que c'est une personne froide, stoïque voire même égoïste.

C'était faux, en réalité c'est simplement un garçon apeuré qui a désormais trop peur d'accorder sa confiance à n'importe qui trop rapidement et de se faire embarquer dans une histoire sans queue ni tête dans laquelle il ne serait qu'une vulgaire marionnette.

Makoto secoua sa tête, décidément, Terumi était coriace, même loin de lui il continuait à le perturber.

Bien décidé à se le sortir de la tête, Kurosaki se dirigea vers un glacier qu'il connaissait bien.

Il y entra et salua rapidement le propriétaire.

— Oï, Kurosaki ! C'est quoi cette tête de déprimé ? Questionna Kento, le fils du gérant qui s'occupait de servir les clients.

— C'est rien, esquiva le brun en s'approchant du comptoir pour choisir sa commande.

Kento n'insista pas, et le servit rapidement, toujours avec un sourire éclatant sur ses lèvres.

Kurosaki ressortit de la boutique, sa glace à la main, il marcha quelques mètres et s'assit à un banc, dos à la rue marchande et face à la mer.

— Vanille. Blond. Afuro. Putain d'merde. S'apitoya le brun en faisant tournoyer le cornet entre ses mains.

Il prenait toujours chocolat d'habitude alors pourquoi ? Pourquoi Afuro Terumi le chamboulait au point qu'il choisisse une glace à la vanille ?

Occupé à marmonner tout bas il ne fit pas particulièrement attention au jeune homme qui l'interpellait, enfin jusqu'à ce que ce dernier se décide à lui tapoter l'épaule pour le recentrer.

— hey, Kurosaki, je peux m'assoir à côté ?

Ledit Kurosaki s'arrêta dans ses pensées, cette voix il l'a connaissait, cette voix c'était... lui.

— Non. Enfin oui ! Comme tu veux. Bafouilla tant bien que mal le brun en se tortillant nerveusement.

Il ne voulait pas le voir, pas lui, pas maintenant. Comment lui parler normalement avec la tempête dans son cœur ? Makoto avait peur, même s'il ne l'avouerait jamais, à cet instant il était complètement terrifié et ne savait absolument pas comment il devait réagir.

Heureusement, les bégaiement du capitaine de Mont Olympe ne semblaient pas avoir dérangés Afuro qui s'installa tranquillement à ses côtés.

Kurosaki enviait cette apparente désinvolture, peu importe les situations, le blond semblait toujours garder son calme et observer les choses d'un œil unique, comme s'il pouvait voir des choses que seul lui pouvait observer.

Kurosaki se ressaisit rapidement, hors de question de paraître faible ou du moins, en mauvaise posture, et ce, devant qui que ce soit. Discrètement, il observa le joueur de Zeus, il détailla ses habits, la glace qu'il tenait dans sa main droite, sa coiffure, s'attardant un peu plus sur cette dernière d'ailleurs.

— Qu'y a-t-il, suis-je mal coiffé ? S'affola le blond en passant plusieurs fois sa main dans sa sublime chevelure.

— Non, au contraire. Ils sont.. euh... très beaux... Contredit timidement Makoto.

En vérité ces mots l'étonnaient lui-même, si cela avait été quelqu'un d'autre, il se serait contenté de dire non, mais avec lui c'était différent.

Avec lui, Kurosaki voulait être honnête, moins froid dans ses réponses. En fait, il voulait pouvoir lui parler librement, mais pouvait-il lui faire confiance ?

— Oh...Merci beaucoup ! Les tiens aussi sont magnifiques ! Répliqua Afuro, un sourire d'ange sur son visage divin.

Kurosaki en fut agréablement surpris, très peu de gens le complimentaient sur sa chevelure brune, on lui reprochait souvent sa longueur et sa coiffure.

— ...merci...

Terumi sourit, comme s'il avait compris ou vu quelque chose chez Kurosaki qui lui plaisait. Il se tourna complètement vers lui et commença à lui parler sans s'arrêter, faisant seulement quelques petites pauses pour consulter l'opinion du brun.

— Au fait pourquoi avoir pris parfum vanille ?  Demanda curieusement le blond en  désignant la glace de son ami.

— Je l'ai pris car j'aime ça, pas parce que c'est la même couleur que tes cheveux, hein. Rigola nerveusement le brun.

— Mais ton parfum préféré c'est chocolat, Kurosaki. Répliqua l'autre, amusé.

—  ...

Afuro rigola, pas le moins du monde gêné par les paroles du joueur de Mont Olympe et continua son monologue.

De son côté, Makoto se sentait de plus en plus à l'aise. Avant, quand il voyait le blond, il se disait que c'était un garçon prétentieux et imbu de lui-même, un peu narcissique aussi.

Oh bien sûr, Afuro n'était pas parfait, personne ne l'était après tout, il appréciait les compliments et être mis en avant, mais il savait aussi écouter les autres et les faire sourire.

Kurosaki aimait ça, il aimait l'idée qu'il puisse être lui-même avec le blond, qu'il puisse lui parler sans craindre de se faire manipuler ou rejeter. Kurosaki aimait Afuro, et cette fois il n'avait pas honte de se l'avouer.

Il était trop tôt pour se déclarer à Terumi en revanche, lui, ne ressentait certainement pas les mêmes sentiments. Mais ce coup-ci, Makoto décida d'être optimiste, il tenterait sa chance, il se le jurait, un jour oui.

Il était tard lorsque les deux garçons se levèrent pour se quitter. Le brun et le blond avaient tout deux un sourire resplendissant aux lèvres.

— On se revoit demain ? Proposa gaiement Afuro.

— Okay ! Acquiesça vivement Kurosaki son cœur tambourinant dans sa poitrine.

Terumi rigola légèrement, un rire doux comme une caresse, un rire que le brun adorait.

Une soudaine pulsion sembla secouer le capitaine de Zeus, il s'approcha de Kurosaki et lui embrassa la joue, avant de se retourner et de partir, un simple signe de main en guise d'au revoir.

Kurosaki resta figé, comme statufié. Un sourire que l'on pourrait aisément qualifier de niais s'empara de ses lèvres et il passa délicatement sa main sur la joue qu'Afuro avait effleuré.

Au diable les glaces au chocolat, il prendrait de la vanille tout les jours pour se rappeler la chevelure divine de son ange adoré.

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Oui, j'ai beaucouuup de retard sur cette commande. ( les autres aussi en fait me tapez pas- ) MAIS comme y a un confinement PLUS des vacances, bah j'vais pouvoir avancer et rattraper le regard que j'ai accumulé !
Bref, voici ta commande très chère CronusFourseasons j'espère que cet OS t'as plu et encore sorry pour l'immense retard-
Promis pour me faire pardonner je sortirai un OS sur la rébellion Japon ( équipe formidable je veux rien savoir-  )
So, je vous dit à plus et je continue à écrire moi !